Noyés sous la pollution de l’air, les habitants de Pékin remplissent les hôpitaux de la ville.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique comment la situation à Pékin est devenue angoissante face à l’alerte à la pollution de l’air.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique comment la situation à Pékin est devenue angoissante face à l’alerte à la pollution de l’air.
Un « dense brouillard gris »
L’article du Point dépeint d’abord une situation particulière, « au 9e étage de l'hôpital Wangfu, Yu Silong », où « un patient asthmatique, regarde par la fenêtre l'angoissante vue panoramique qui s'offre à lui : partout, le paysage urbain est noyé par un dense brouillard gris, derrière lequel perce avec difficulté un soleil rougeâtre. Hospitalisé depuis trois jours dans cet établissement de la banlieue nord de Pékin, le robuste jeune homme de 24 ans, assis sur le rebord de son lit, reçoit une perfusion d'antibiotiques qui vient alimenter son épais bras tatoué. »
Ainsi, « Yu Silong, employé de supermarché qui a dû démissionner le temps de se faire soigner », explique : « Mon asthme n'a pas été provoqué par le brouillard polluant, mais ça aggrave ma situation, forcément. À cause du smog, je porte un masque à l'extérieur, mais aussi à l'intérieur. » Il ajoute : « Mais aujourd'hui, je n'ose même pas mettre le pied dehors ! »
En effet, l’article explique que « les autorités pékinoises ont décrété lundi pour la première fois une alerte rouge au smog, entraînant des mesures exceptionnelles, dont une circulation alternée, la fermeture d'usines et la suspension des cours. »
Bernhard Schwartländer, le représentant en Chine de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme quant à lui : « [Cela] signifie que les autorités [...] prennent très au sérieux la question de la qualité de l'air et des problèmes de santé qui en découlent. »
En outre, l’article ajoute que « le brouillard polluant continuait de frapper le nord de la Chine, touchant plus de 300 millions de personnes », d’après le journal China Daily. En effet, « le taux de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus dangereuses, atteignait un niveau élevé de 280 microgrammes par mètre cube à Pékin, selon le Bureau de la protection environnementale. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici
Ainsi, « Yu Silong, employé de supermarché qui a dû démissionner le temps de se faire soigner », explique : « Mon asthme n'a pas été provoqué par le brouillard polluant, mais ça aggrave ma situation, forcément. À cause du smog, je porte un masque à l'extérieur, mais aussi à l'intérieur. » Il ajoute : « Mais aujourd'hui, je n'ose même pas mettre le pied dehors ! »
En effet, l’article explique que « les autorités pékinoises ont décrété lundi pour la première fois une alerte rouge au smog, entraînant des mesures exceptionnelles, dont une circulation alternée, la fermeture d'usines et la suspension des cours. »
Bernhard Schwartländer, le représentant en Chine de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme quant à lui : « [Cela] signifie que les autorités [...] prennent très au sérieux la question de la qualité de l'air et des problèmes de santé qui en découlent. »
En outre, l’article ajoute que « le brouillard polluant continuait de frapper le nord de la Chine, touchant plus de 300 millions de personnes », d’après le journal China Daily. En effet, « le taux de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus dangereuses, atteignait un niveau élevé de 280 microgrammes par mètre cube à Pékin, selon le Bureau de la protection environnementale. »
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