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Sur le plateau de BFM Business, le directeur de la marque Peugeot est venu marteler une bonne nouvelle : la part de l’électrique a augmenté. « Sur le premier semestre, je pense que mondialement on est à 17% de parts de nos commandes strictement électriques. Sur la France, on est à 22% » annonce Jean-Philippe Imparato. « Mieux : rien que sur le dernier weekend de portes ouvertes, "26% des 208 vendues étaient électriques". Du côté des plug-in et hybrides, les ventes "évoluent entre 13 et 15%" car ce sont généralement des véhicules plus chers et de niveau de gamme supérieur. "Je suis très surpris du train" de ces ventes, admet Jean-Philippe Imparato. La preuve, selon lui, que la transition vers le véhicule électrique est pleinement lancée. »
La tentation est grande de considérer que ces chiffres sont le signe du début de la grande transition électrique. Or, le premier semestre de cette année est loin d’être représentatif. PSA a d’ailleurs largement communiqué sur l’effondrement des ventes en 2020. Le groupe a ainsi annoncé que les ventes avaient été quasiment divisées par deux. Et même si les chiffres concernant Peugeot spécifiquement n’ont pas été communiqués, la tendance générale et la part globale que représente la marque au lion suffisent pour questionner l’optimisme du responsable.
« Les chiffres de ventes de PSA sur le premier semestre montrent sans surprise les dégâts de l’épidémie de Covid dans le monde sur l’activité du constructeur. Sur le premier semestre, les marques du groupe ont vendu 1.033.253 véhicules, dont 43% pour Peugeot (445.221), 29% pour Citroën (303.101), 26% pour Opel/Vauxhall (266.118) et un peu moins de 2% pour DS (18.813). En Europe qui représente 85% de ses volumes, les ventes sont en recul de -47,5% avec 884.524 unités sur le premier semestre et presque autant de voitures perdues (793.602 de moins). Sur les autres zones géographiques, les évolutions sont contrastées. Les volumes sont stables au Moyen-Orient Afrique (devenue sa deuxième région avec 71.281 unités) où le groupe développe les implantations d’Opel et Citroën. Sur cette zone, PSA bénéficie de l’ouverture de son usine marocaine de Kenitra qui aura en septembre une capacité de production de 200.000 unités », rapporte AutoActu.
La tentation est grande de considérer que ces chiffres sont le signe du début de la grande transition électrique. Or, le premier semestre de cette année est loin d’être représentatif. PSA a d’ailleurs largement communiqué sur l’effondrement des ventes en 2020. Le groupe a ainsi annoncé que les ventes avaient été quasiment divisées par deux. Et même si les chiffres concernant Peugeot spécifiquement n’ont pas été communiqués, la tendance générale et la part globale que représente la marque au lion suffisent pour questionner l’optimisme du responsable.
« Les chiffres de ventes de PSA sur le premier semestre montrent sans surprise les dégâts de l’épidémie de Covid dans le monde sur l’activité du constructeur. Sur le premier semestre, les marques du groupe ont vendu 1.033.253 véhicules, dont 43% pour Peugeot (445.221), 29% pour Citroën (303.101), 26% pour Opel/Vauxhall (266.118) et un peu moins de 2% pour DS (18.813). En Europe qui représente 85% de ses volumes, les ventes sont en recul de -47,5% avec 884.524 unités sur le premier semestre et presque autant de voitures perdues (793.602 de moins). Sur les autres zones géographiques, les évolutions sont contrastées. Les volumes sont stables au Moyen-Orient Afrique (devenue sa deuxième région avec 71.281 unités) où le groupe développe les implantations d’Opel et Citroën. Sur cette zone, PSA bénéficie de l’ouverture de son usine marocaine de Kenitra qui aura en septembre une capacité de production de 200.000 unités », rapporte AutoActu.
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