Sous une sécheresse étouffante, l’état de Californie a vu sa consommation baissé par habitant de 27,3%, selon les informations des autorités. Un taux qui semble aller de plus en plus haut, ce qui pose problème pour les habitants, mais aussi pour les agriculteurs qui voient leurs récoltes partir en fumée.
Car dans le sud de la Californie, la sécheresse s’est installée durablement depuis plusieurs années déjà. La Californie compte l’endroit le plus sec de l’Amérique du Nord, là où certaines parcelles de terre reçoivent très peu d’eau de pluie. Certaines régions sont également ravagées par les incendies, sous les yeux des agriculteurs qui voient leurs cultures disparaître au fil des mois.
Car dans le sud de la Californie, la sécheresse s’est installée durablement depuis plusieurs années déjà. La Californie compte l’endroit le plus sec de l’Amérique du Nord, là où certaines parcelles de terre reçoivent très peu d’eau de pluie. Certaines régions sont également ravagées par les incendies, sous les yeux des agriculteurs qui voient leurs cultures disparaître au fil des mois.
Des restrictions historiques
Felicia Marcus, présidente du comité de contrôle des ressources en eau de Californie, explique au journal Le Monde la bonne conduite des habitants dans leur consommation d’eau face à la situation climatique: « C’est la bonne attitude à avoir alors que nous nous dirigeons vers la chaleur d’août et de septembre, en pleine sécheresse du siècle, dont la date de fin n’est pas connue. »
Dans certaines zones de crise, la consommation d’eau est interdite, pour laisser la priorité à une consommation ciblée, pour des raisons de santé ou de sécurité civile par exemple. Le déficit hydrique de la Californie a donc de lourdes conséquences pour les habitants : comme les agriculteurs qui doivent parfois abandonner leurs cultures à faible rendement, les industries locales doivent eux aussi ralentir leurs activités, les incendies se multiplient pendant que la qualité de l’eau s’amoindrit, entraînant souvent la migration de la population animale locale, entraînant à terme plusieurs perturbations ou destructions complètes de l’écosystème.
La Californie devra donc faire bonne conduite face aux nouvelles restrictions imposées par le gouvernement.
Dans certaines zones de crise, la consommation d’eau est interdite, pour laisser la priorité à une consommation ciblée, pour des raisons de santé ou de sécurité civile par exemple. Le déficit hydrique de la Californie a donc de lourdes conséquences pour les habitants : comme les agriculteurs qui doivent parfois abandonner leurs cultures à faible rendement, les industries locales doivent eux aussi ralentir leurs activités, les incendies se multiplient pendant que la qualité de l’eau s’amoindrit, entraînant souvent la migration de la population animale locale, entraînant à terme plusieurs perturbations ou destructions complètes de l’écosystème.
La Californie devra donc faire bonne conduite face aux nouvelles restrictions imposées par le gouvernement.