Les négociations de la COP21 doivent aboutir demain sur l’accord de Paris, qui vise à « endiguer » le réchauffement climatique planétaire.
Un article en ligne du journal Libération explique l’importance de cet accord et les enjeux qu’il représente en terme de préservation de l’environnement.
Un article en ligne du journal Libération explique l’importance de cet accord et les enjeux qu’il représente en terme de préservation de l’environnement.
« Des paragraphes moins ambigus »
L’article de Libération explique qu’ « un nouveau texte d’accord à la COP21 » a vu le jour cette semaine. Il s’agit en effet d’ « une nouvelle version ‘nettoyée’, selon Laurent Fabius, à laquelle ont été rajoutées les avancées des ministres cofacilitateurs. »
Ainsi, cette nouvelle version « a été présentée mercredi aux 195 pays signataires de la Convention climat de l’ONU (CCNUCC). Le chef de la diplomatie française s’est félicité que ce nouveau brouillon d’accord fasse ‘29 pages au lieu de 43’, et que ‘par rapport à la version antérieure’, il y ait ‘une réduction des trois-quarts du nombre des points entre crochets’. ‘C’est nettement mieux, donc, mais c’est encore trop’» s’est affirmé Laurent Fabius, « qui a laissé jusqu’à mercredi 20 heures aux délégués pour qu’ils prennent connaissance du texte. »
L’article ajoute que « la transparence, l’adaptation aux impacts du changement climatique, les forêts, les moyens de coopération, les transferts de technologies et le préambule semblent avoir progressé, avec des propositions plus tranchées qu’avant et des paragraphes moins ambigus. »
Laurent Fabius a déclaré que «Bien entendu, la règle entre nous, c’est que rien n’est agréé tant que tout n’est pas agréé», ajoutant néanmoins que «certains points politiques importants rest[ai]ent à trancher», comme le précise l’article : « la différenciation (les efforts à fournir par les pays selon leurs moyens et leurs responsabilités dans le changement climatique), le niveau des financements et leurs moyens de mise en œuvre, et l’ambition de l’accord, c’est-à-dire son objectif de long terme. Soit trois articles fondamentaux de l’accord de Paris. »
Lire l’intégralité de l’article de Libération ici
Ainsi, cette nouvelle version « a été présentée mercredi aux 195 pays signataires de la Convention climat de l’ONU (CCNUCC). Le chef de la diplomatie française s’est félicité que ce nouveau brouillon d’accord fasse ‘29 pages au lieu de 43’, et que ‘par rapport à la version antérieure’, il y ait ‘une réduction des trois-quarts du nombre des points entre crochets’. ‘C’est nettement mieux, donc, mais c’est encore trop’» s’est affirmé Laurent Fabius, « qui a laissé jusqu’à mercredi 20 heures aux délégués pour qu’ils prennent connaissance du texte. »
L’article ajoute que « la transparence, l’adaptation aux impacts du changement climatique, les forêts, les moyens de coopération, les transferts de technologies et le préambule semblent avoir progressé, avec des propositions plus tranchées qu’avant et des paragraphes moins ambigus. »
Laurent Fabius a déclaré que «Bien entendu, la règle entre nous, c’est que rien n’est agréé tant que tout n’est pas agréé», ajoutant néanmoins que «certains points politiques importants rest[ai]ent à trancher», comme le précise l’article : « la différenciation (les efforts à fournir par les pays selon leurs moyens et leurs responsabilités dans le changement climatique), le niveau des financements et leurs moyens de mise en œuvre, et l’ambition de l’accord, c’est-à-dire son objectif de long terme. Soit trois articles fondamentaux de l’accord de Paris. »
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