L’avenir durable des villes olympiques est sous les projecteurs de la COP21 car pour certains, Jeux Olympiques et respect de l’environnement peuvent faire la paire. Un communiqué du Comité International Olympique souligne les enjeux de l’avenir durable des villes olympiques.
Limiter l’impact environnemental
S'adressant à près de 1000 maires venus du monde entier assister à la 21e Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP 21) à Paris, le président du Comité International Olympique (CIO), Thomas Bach, « a mis l'accent sur les réformes relatives à la durabilité prévues par l'Agenda olympique 2020, ajoutant que l'expérience de précédentes villes hôtes démontre qu'il est possible de livrer des Jeux réussis tout en limitant l'impact environnemental à son minimum. »
Ainsi, le président du CIO a annoncé que « pour les Jeux Olympiques de 2024, la ville hôte devra mettre en oeuvre un plan de gestion et de réduction des émissions de carbone. Ce plan vient s'ajouter aux efforts déjà consentis en matière de durabilité par de précédentes villes hôtes. »
Il a ajouté que « les efforts faits aux Jeux Olympiques de Londres 2012 ont permis d'économiser l'équivalent de 400 000 tonnes de dioxyde de carbone, principalement dans le secteur de la construction et les activités opérationnelles », ajoutant que « les normes en matière de durabilité appliquées à Londres sont rapidement devenues l'exemple à suivre pour les manifestations internationales et sont aujourd'hui suivies par les villes hôtes suivantes, telles que Rio de Janeiro et Tokyo. »
Le communiqué explique que « Thomas Bach intervenait au Sommet des Élus locaux pour le climat. Il a relevé le fait que grâce aux réformes insufflées par l'Agenda olympique 2020, les candidats pouvaient désormais s'attacher à intégrer au mieux leur projet olympique dans les plans de développement durable de leur ville ou région. »
Ainsi, le président du CIO a annoncé que « pour les Jeux Olympiques de 2024, la ville hôte devra mettre en oeuvre un plan de gestion et de réduction des émissions de carbone. Ce plan vient s'ajouter aux efforts déjà consentis en matière de durabilité par de précédentes villes hôtes. »
Il a ajouté que « les efforts faits aux Jeux Olympiques de Londres 2012 ont permis d'économiser l'équivalent de 400 000 tonnes de dioxyde de carbone, principalement dans le secteur de la construction et les activités opérationnelles », ajoutant que « les normes en matière de durabilité appliquées à Londres sont rapidement devenues l'exemple à suivre pour les manifestations internationales et sont aujourd'hui suivies par les villes hôtes suivantes, telles que Rio de Janeiro et Tokyo. »
Le communiqué explique que « Thomas Bach intervenait au Sommet des Élus locaux pour le climat. Il a relevé le fait que grâce aux réformes insufflées par l'Agenda olympique 2020, les candidats pouvaient désormais s'attacher à intégrer au mieux leur projet olympique dans les plans de développement durable de leur ville ou région. »