L’inquiétude reste tenace pour les constructeurs automobiles. Est-ce que les consommateurs vont suivre le mouvement alors que des millions d’euros sont investis dans l’électrique ? Outre le fait que le secteur est en berne, l’engouement des consommateurs reste bien timide en comparaison des efforts technologiques et financiers fournis. « Plus de 600 entreprises du secteur étaient réunies hier au ministère de l’économie pour tenter de trouver des solutions face à un double défi : une baisse globale des ventes, tous véhicules confondus, ces derniers mois (Renault, par exemple, estime le recul du marché à 4% en 2019), conjuguée à la nécessité d’investir massivement pour favoriser le développement de la motorisation électrique. Dans ce contexte compliqué, les réponses du ministre de l’économie étaient particulièrement attendues » nous raconte 01Net .
Le ministre de l’Économie s’est donc voulu rassurant en garantissant que le bonus écologique ne serait pas remis en question. Ces dernières semaines les constructeurs craignaient une réduction des conditions d’attribution. En fait, l’inverse se produit puisque l’enveloppe va être augmentée de 50% et des engagements détaillés pour les trois prochaines années vont être annoncées par la ministre du Transport. L’objectif, a appuyé Bruno Le Maire, est de maintenir ce dispositif pour arriver au million de véhicules électriques en circulation en 2022. Le tout soutenu par un réseau de 100 000 bornes de rechargement.
« Actuellement, la France dispose de 28 000 bornes de recharge environ et compte quelques 230 000 voitures électriques en circulation. Il s’agit donc de quadrupler ces totaux en trois ans. Si l’électrique est un objectif avéré, l’hydrogène ne doit pas non plus être oublié, « nous ferons de même sur l’hydrogène » dans la mesure où il a été « identifié comme une technologie stratégique » a-t-il poursuivi sans plus de précisions chiffrées » rapporte 01Net. A l’inverse les plafonds des malus pourraient être supprimés pour que les plus gros véhicules soient pénalisés.
Mais si le soutien du gouvernement est là, l’inquiétude du secteur ne s’est pas éteinte. Malgré me bonus écologique, la demande pour des véhicules reste très marginale. Loin, très loin de l’offre mais surtout des niveaux d’investissements injectés.
Le ministre de l’Économie s’est donc voulu rassurant en garantissant que le bonus écologique ne serait pas remis en question. Ces dernières semaines les constructeurs craignaient une réduction des conditions d’attribution. En fait, l’inverse se produit puisque l’enveloppe va être augmentée de 50% et des engagements détaillés pour les trois prochaines années vont être annoncées par la ministre du Transport. L’objectif, a appuyé Bruno Le Maire, est de maintenir ce dispositif pour arriver au million de véhicules électriques en circulation en 2022. Le tout soutenu par un réseau de 100 000 bornes de rechargement.
« Actuellement, la France dispose de 28 000 bornes de recharge environ et compte quelques 230 000 voitures électriques en circulation. Il s’agit donc de quadrupler ces totaux en trois ans. Si l’électrique est un objectif avéré, l’hydrogène ne doit pas non plus être oublié, « nous ferons de même sur l’hydrogène » dans la mesure où il a été « identifié comme une technologie stratégique » a-t-il poursuivi sans plus de précisions chiffrées » rapporte 01Net. A l’inverse les plafonds des malus pourraient être supprimés pour que les plus gros véhicules soient pénalisés.
Mais si le soutien du gouvernement est là, l’inquiétude du secteur ne s’est pas éteinte. Malgré me bonus écologique, la demande pour des véhicules reste très marginale. Loin, très loin de l’offre mais surtout des niveaux d’investissements injectés.