« L'objectif des documents de reporting est d'informer les parties prenantes des entreprises de leurs liens à la biodiversité (impacts et dépendances) et des actions qu'elles engagent dans ce domaine » affirme l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Le comité français de l’UICN vient de publier les conclusions d’une enquête sur le reporting biodiversité des entreprises. Le document explique que « des améliorations peuvent être apportées pour mieux caractériser leurs impacts et dépendances à la biodiversité, connaître leur niveau d'engagement et évaluer les actions mises en œuvre. » Ce type de reporting doit ainsi jouer un rôle « d’interface » entre les entreprises qui souhaitent s’engager et les « acteurs de la conservation de la nature. » Par ailleurs, « ces informations sont aussi utilisées par les agences de notation extra-financière. »
Le comité français de l’UICN vient de publier les conclusions d’une enquête sur le reporting biodiversité des entreprises. Le document explique que « des améliorations peuvent être apportées pour mieux caractériser leurs impacts et dépendances à la biodiversité, connaître leur niveau d'engagement et évaluer les actions mises en œuvre. » Ce type de reporting doit ainsi jouer un rôle « d’interface » entre les entreprises qui souhaitent s’engager et les « acteurs de la conservation de la nature. » Par ailleurs, « ces informations sont aussi utilisées par les agences de notation extra-financière. »
Recommandations aux entreprises
Saluant les améliorations qui ont été observées grâce à l’apparition d’un cadre juridique plus sévère, l’UICN France remarque que les documents publiés « ne permettent pas toujours aux acteurs de l'environnement d'appréhender complètement et facilement la manière dont les entreprises agissent pour prendre en compte les enjeux de biodiversité dans leurs stratégies et activités. » Ces limites proviendraient en partie des difficultés que rencontrent les entreprises lorsqu’elles essayent de communiquer sur le sujet.
Du coup, l’UICN France propose une série de recommandations aux entreprises. Ces dernières doivent dessiner le cadre du reporting pour ensuite « documenter leurs impacts directs et indirects sur la biodiversité ainsi que leur dépendance aux services écologiques. »
Dans un second temps, les entreprises doivent faire preuve de transparence en publiant « des informations sur les mesures mises en œuvre en faveur de la biodiversité, en distinguant celles qui répondent à une obligation juridique de celles qui sont volontaires. » C’est cette dernière étape qui peut permettre aux sociétés de communiquer sur leur engagement en terme de responsabilité.
Du coup, l’UICN France propose une série de recommandations aux entreprises. Ces dernières doivent dessiner le cadre du reporting pour ensuite « documenter leurs impacts directs et indirects sur la biodiversité ainsi que leur dépendance aux services écologiques. »
Dans un second temps, les entreprises doivent faire preuve de transparence en publiant « des informations sur les mesures mises en œuvre en faveur de la biodiversité, en distinguant celles qui répondent à une obligation juridique de celles qui sont volontaires. » C’est cette dernière étape qui peut permettre aux sociétés de communiquer sur leur engagement en terme de responsabilité.