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On se perd dans les labels qui sont supposés nous en dire sur les pratiques vertueuses des entreprises. Pas toujours fiables et parfois même simplement outils marketing, on peut préférer les normes et certifications plus professionnelles comme les Iso. Reconnaissons tout de même que ces dernières sont assez austères et mal connues du grand public. C’est ici, que l’utilité d’un label vraiment exigent mais accessible prend tout son sens.
Avec le label américain, c’est à la croisée de tout ce qui existe que l’on se trouve. « Afin d’être certifiées, les entreprises doivent franchir deux étapes. Premièrement, remplir un questionnaire gratuit et accessible à tous, afin de s’auto-évaluer. Celui-ci comprend 200 questions relatives à la gouvernance, aux employés, à la communauté et à l’environnement. Les questions peuvent aussi porter sur l’approvisionnement en énergie renouvelable ou l’impact social et environnemental des fournisseurs. Pas évident donc d’y répondre. Afin de passer à la seconde étape, les entreprises doivent obligatoirement obtenir au minimum 80 points » explique un article Réponse Conso.
Le succès et la réputation du label est très bénéfique pour le développement de la RSE et l’échange des expériences dans le domaine. « Avoir ce label, c’est faire partie d’un réseau international. À ce jour, plus de 2 000 entreprises sont certifiées B-Corp et ce, dans 50 pays du monde et 130 secteurs d’activités différents. On y retrouve aussi bien des multinationales que des start-up. On retrouve par exemple Ben & Jerry’s avec 89 points ou encore l’entreprise Patagonia avec un score de 107 points. En France, la première entreprise à avoir été certifiée est Utopies. La société est spécialisée dans le développement durable et a obtenu en 2015 un score de 98 points. 24 autres marques sont aujourd’hui certifiées à travers l’Hexagone, comme la plateforme participative Ulule ou encore la Camif et Nature & Découvertes » explique le site spécialisé.
Lire en intégralité l’article sur le site Réponse-Conso.fr
Avec le label américain, c’est à la croisée de tout ce qui existe que l’on se trouve. « Afin d’être certifiées, les entreprises doivent franchir deux étapes. Premièrement, remplir un questionnaire gratuit et accessible à tous, afin de s’auto-évaluer. Celui-ci comprend 200 questions relatives à la gouvernance, aux employés, à la communauté et à l’environnement. Les questions peuvent aussi porter sur l’approvisionnement en énergie renouvelable ou l’impact social et environnemental des fournisseurs. Pas évident donc d’y répondre. Afin de passer à la seconde étape, les entreprises doivent obligatoirement obtenir au minimum 80 points » explique un article Réponse Conso.
Le succès et la réputation du label est très bénéfique pour le développement de la RSE et l’échange des expériences dans le domaine. « Avoir ce label, c’est faire partie d’un réseau international. À ce jour, plus de 2 000 entreprises sont certifiées B-Corp et ce, dans 50 pays du monde et 130 secteurs d’activités différents. On y retrouve aussi bien des multinationales que des start-up. On retrouve par exemple Ben & Jerry’s avec 89 points ou encore l’entreprise Patagonia avec un score de 107 points. En France, la première entreprise à avoir été certifiée est Utopies. La société est spécialisée dans le développement durable et a obtenu en 2015 un score de 98 points. 24 autres marques sont aujourd’hui certifiées à travers l’Hexagone, comme la plateforme participative Ulule ou encore la Camif et Nature & Découvertes » explique le site spécialisé.
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