Un article en ligne du site www.lapresse.ca, selon une dépêche AFP, explique que « les coraux peuvent mourir d'une exposition trop forte aux particules de charbon, selon une étude scientifique qui met en garde contre l'impact de l'industrie australienne sur la Grande barrière de corail. »
L’article ajoute que « les organisations de protection de la nature s'inquiètent de longue date des conséquences de l'exploitation du charbon sur ce joyau classé au patrimoine de l'Humanité, qui s'ajoutent à l'impact de ce secteur sur le réchauffement climatique. »
En effet, ces organisations de protections de la nature s’inquiètent principalement « des conséquences du gigantesque projet Adani, dans l'État du Queensland, où ce trouve le plus grand récif corallien du monde. »
L'étude en question, publiée par Nature Scientific Reports « est la première à examiner l'effet des particules de charbon sur les organismes marins tropicaux. » On peut y lire : « les résultats montrent qu'une exposition chronique au charbon peut avoir des effets mortels considérables pour les coraux, et réduire la croissance des herbiers marins et des poissons. »
L’article ajoute que « les organisations de protection de la nature s'inquiètent de longue date des conséquences de l'exploitation du charbon sur ce joyau classé au patrimoine de l'Humanité, qui s'ajoutent à l'impact de ce secteur sur le réchauffement climatique. »
En effet, ces organisations de protections de la nature s’inquiètent principalement « des conséquences du gigantesque projet Adani, dans l'État du Queensland, où ce trouve le plus grand récif corallien du monde. »
L'étude en question, publiée par Nature Scientific Reports « est la première à examiner l'effet des particules de charbon sur les organismes marins tropicaux. » On peut y lire : « les résultats montrent qu'une exposition chronique au charbon peut avoir des effets mortels considérables pour les coraux, et réduire la croissance des herbiers marins et des poissons. »
Les coraux « étouffés » par les particules de charbon
L'article ajoute qu’une des auteurs de l'étude, « Mia Hoogenboom, chercheuse au Centre d'excellence pour les études sur les récifs coralliens, a indiqué mardi à l'AFP que des expériences conduites sur des espèces marines exposées à divers niveaux de particules de charbon avaient montré que celles-ci avaient pour effet d'étouffer les coraux. »
Elle a notamment « expliqué que ces particules avaient tendance à adhérer aux coraux pour former une pellicule leur cachant la lumière. » L’article ajoute que « Kathryn Berry, responsable de l'étude, a expliqué que les coraux exposés à la plus forte concentration de particules mouraient en deux semaines. »
Dans un communiqué, cette dernière assure : « Les coraux exposés à une plus faible concentration survivent plus longtemps, mais la plupart meurent au bout de quatre semaines. »
L’article précise que « les pollutions majeures de la mer au charbon sont rares, mais pas impossibles, alors que le projet Adani devrait avoir pour conséquence une intensification du trafic maritime à destination du port charbonnier d'Abbot Point, situé tout près de la Grande barrière. »
Lire l’intégralité de l’article ici.
Elle a notamment « expliqué que ces particules avaient tendance à adhérer aux coraux pour former une pellicule leur cachant la lumière. » L’article ajoute que « Kathryn Berry, responsable de l'étude, a expliqué que les coraux exposés à la plus forte concentration de particules mouraient en deux semaines. »
Dans un communiqué, cette dernière assure : « Les coraux exposés à une plus faible concentration survivent plus longtemps, mais la plupart meurent au bout de quatre semaines. »
L’article précise que « les pollutions majeures de la mer au charbon sont rares, mais pas impossibles, alors que le projet Adani devrait avoir pour conséquence une intensification du trafic maritime à destination du port charbonnier d'Abbot Point, situé tout près de la Grande barrière. »
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