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La facture commence à être salée pour Apple. Poursuivie en France pour obsolescence programmée, la compagnie avait validé une transaction pénale avec le Parquet de Paris. 25 millions d’euros étaient arrêtés pour mettre fin aux poursuites. « Cela ne signait cependant pas la fin de cette affaire, car Apple était encore sous le coup d’une enquête aux États-Unis. Or, tout récemment, la marque à la pomme a accepté de payer une somme encore plus importante de 113 millions de dollars pour ne plus être inquiétée par la Justice américaine », précise Frandroid.
Alors qu’en France, la justice cherchait des poux au géant américain pour « obsolescence programmée », aux Etats-Unis la défense d’Apple a imprégné. Là-bas, la compagnie reconnaissait avoir bridé les iPhones 6, 6s, SE et 7 mais assurait qu’elle ne l’avait pas fait pour inciter à acheter de nouveaux appareils. Les porte-paroles et avocats de la compagnie ont assuré que les terminaux avaient été bridés pour faire gagner de l’autonomie aux téléphones.
« Apple a toujours expliqué que cette pratique de bridage n’avait pas pour vocation de pousser les consommateurs à acheter plus régulièrement de nouveaux smartphones. Un argument contesté par le procureur général de l’Arizona, Mark Brnovich. Ce dernier explique que « de nombreux consommateurs ont estimé que la seule façon d’obtenir de meilleures performances était d’acheter un iPhone plus récent chez Apple ». Et d’ajouter, cynique : « Apple, bien sûr, a parfaitement compris ces effets sur les ventes ». D’après l’enquête, les ventes d’iPhone auraient été potentiellement boostées de quelques millions d’exemplaires par an à la suite de cette politique d’Apple » nous apprend Frandroid.
L’histoire ne dit pas en revanche combien le fait d’avoir brider a rapporté à Apple et si le cumul des transactions pénales est couvert par les gains.
Alors qu’en France, la justice cherchait des poux au géant américain pour « obsolescence programmée », aux Etats-Unis la défense d’Apple a imprégné. Là-bas, la compagnie reconnaissait avoir bridé les iPhones 6, 6s, SE et 7 mais assurait qu’elle ne l’avait pas fait pour inciter à acheter de nouveaux appareils. Les porte-paroles et avocats de la compagnie ont assuré que les terminaux avaient été bridés pour faire gagner de l’autonomie aux téléphones.
« Apple a toujours expliqué que cette pratique de bridage n’avait pas pour vocation de pousser les consommateurs à acheter plus régulièrement de nouveaux smartphones. Un argument contesté par le procureur général de l’Arizona, Mark Brnovich. Ce dernier explique que « de nombreux consommateurs ont estimé que la seule façon d’obtenir de meilleures performances était d’acheter un iPhone plus récent chez Apple ». Et d’ajouter, cynique : « Apple, bien sûr, a parfaitement compris ces effets sur les ventes ». D’après l’enquête, les ventes d’iPhone auraient été potentiellement boostées de quelques millions d’exemplaires par an à la suite de cette politique d’Apple » nous apprend Frandroid.
L’histoire ne dit pas en revanche combien le fait d’avoir brider a rapporté à Apple et si le cumul des transactions pénales est couvert par les gains.
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