Le secteur de l’énergie, EDF compris voit s’ouvrir un nouveau front d’inquiétude avec l’annonce de la CGT. « Alors que la France entre dans une période de vigilance renforcée quant à l'approvisionnement en électricité, la CGT a lancé un appel à la grève reconductible dans le secteur de l'énergie, qui inclut EDF, ce mardi 25 janvier. L'objectif de la centrale est d'obtenir une revalorisation des salaires et pensions dans ce secteur, a annoncé lundi la FNME-CGT dans un communiqué » relève Le Figaro .
L’augmentation des prix et l’inflation qui touchent l’intégralité de la société ont poussé le syndicat à battre l’appel à la mobilisation. « À l'origine de ce coup de pression sur les dirigeants du secteur, des négociations en fin d'année 2021 et, encore à l'heure actuelle chez certaines entreprises, «pas du tout satisfaisantes» sur le salaire national de base, «base de calcul de notre grille salariale», a indiqué Fabrice Coudour. «Les perturbations fortes de l'équilibre électricité et gaz ou de l'activité dans les entreprises seront uniquement de la responsabilité de directions sourdes aux justes revendications des salariés et retraités», a prévenu la FNME-CGT. Contactées par l'AFP, les directions d'EDF et d'Engie n'ont pas commenté dans l'immédiat » rapporte l’agence de presse.
La CGT est le premier syndicat du secteur et assure avoir un taux de représentation d’environ 40%. De quoi inquiéter les grands groupes qui font face à un contexte tendu tant sur les questions de couts que d’approvisionnement. D’autant que le syndicat assure avoir déjà fait voter la reconduction du mouvement mercredi 26 janvier et d’autres jours encore si nécessaire. « «On est sur une bataille qui nous semble très juste, vu les résultats records de nos entreprises», a estimé Fabrice Coudour. Alors que flambent les cours de l'électricité, il a tenu à souligner que «ce n'est pas nos salaires qui coûtent sur la facture, c'est le marché lui-même» » conclue Le Figaro.
L’augmentation des prix et l’inflation qui touchent l’intégralité de la société ont poussé le syndicat à battre l’appel à la mobilisation. « À l'origine de ce coup de pression sur les dirigeants du secteur, des négociations en fin d'année 2021 et, encore à l'heure actuelle chez certaines entreprises, «pas du tout satisfaisantes» sur le salaire national de base, «base de calcul de notre grille salariale», a indiqué Fabrice Coudour. «Les perturbations fortes de l'équilibre électricité et gaz ou de l'activité dans les entreprises seront uniquement de la responsabilité de directions sourdes aux justes revendications des salariés et retraités», a prévenu la FNME-CGT. Contactées par l'AFP, les directions d'EDF et d'Engie n'ont pas commenté dans l'immédiat » rapporte l’agence de presse.
La CGT est le premier syndicat du secteur et assure avoir un taux de représentation d’environ 40%. De quoi inquiéter les grands groupes qui font face à un contexte tendu tant sur les questions de couts que d’approvisionnement. D’autant que le syndicat assure avoir déjà fait voter la reconduction du mouvement mercredi 26 janvier et d’autres jours encore si nécessaire. « «On est sur une bataille qui nous semble très juste, vu les résultats records de nos entreprises», a estimé Fabrice Coudour. Alors que flambent les cours de l'électricité, il a tenu à souligner que «ce n'est pas nos salaires qui coûtent sur la facture, c'est le marché lui-même» » conclue Le Figaro.