Un article en ligne du site de France Bleu explique que « le chantier concernait le bâtiment Winston-Churchill, avenue Schuman. » En effet, « en février 2013, derrière des bâches, alors que l'immeuble restait accessible au public, des ouvriers ont percé deux piliers métalliques qui contenaient de l'amiante. »
En effet, « plus de 1.600 personnes ont pu respirer les poussières dégagées par les travaux, des agents du Parlement européen et du Conseil de l'Europe, qui se partageaient les locaux, des ouvriers ainsi que des prestataires extérieurs. »
L’article constate qu’il est « impossible de savoir aujourd'hui si l'une d'entre elles développera une affection liée à l'amiante mais il est essentiel, pour Me Cohen-Solal, qui représente 90 parties civiles, de leur reconnaître dès aujourd'hui la qualité de victime. »
En effet, « plus de 1.600 personnes ont pu respirer les poussières dégagées par les travaux, des agents du Parlement européen et du Conseil de l'Europe, qui se partageaient les locaux, des ouvriers ainsi que des prestataires extérieurs. »
L’article constate qu’il est « impossible de savoir aujourd'hui si l'une d'entre elles développera une affection liée à l'amiante mais il est essentiel, pour Me Cohen-Solal, qui représente 90 parties civiles, de leur reconnaître dès aujourd'hui la qualité de victime. »
« Mise en danger d’autrui »
France Bleu explique que « l'amiante, qui s'installe insidieusement dans les poumons, peut rester silencieux pendant longtemps avant de provoquer un cancer. Dans 20 ou 30 ans, en cas de pathologie broncho-pulmonaire, il faut que les salariés exposés à ces fibres toxiques puissent faire reconnaître celle-ci comme une maladie professionnelle. »
Ainsi, « 300 personnes, déjà, ont porté plainte contre les responsables du chantier pour mise en danger d'autrui. »
L’article souligne que « sur le banc des prévenus, face à ces centaines de plaignants, quatre personnes : l'architecte qui a dirigé les travaux, les responsables des deux entreprises qui les ont réalisés et le coordinateur sécurité du chantier. »
Il ajoute que « le Parlement européen s'est constitué partie civile mais les avocats de la défense s'interrogeront certainement à l'audience sur sa part de responsabilité. Pour accompagner les 300 plaignants, on compte une quinzaine d'avocats. »
Par ailleurs, « d'autres victimes potentielles pourraient se signaler à l'audience. Le procès se déroulera sur deux jours, dans la salle des assises du TGI de Strasbourg, avec une retransmission vidéo dans une salle voisine si nécessaire. »
Ainsi, « 300 personnes, déjà, ont porté plainte contre les responsables du chantier pour mise en danger d'autrui. »
L’article souligne que « sur le banc des prévenus, face à ces centaines de plaignants, quatre personnes : l'architecte qui a dirigé les travaux, les responsables des deux entreprises qui les ont réalisés et le coordinateur sécurité du chantier. »
Il ajoute que « le Parlement européen s'est constitué partie civile mais les avocats de la défense s'interrogeront certainement à l'audience sur sa part de responsabilité. Pour accompagner les 300 plaignants, on compte une quinzaine d'avocats. »
Par ailleurs, « d'autres victimes potentielles pourraient se signaler à l'audience. Le procès se déroulera sur deux jours, dans la salle des assises du TGI de Strasbourg, avec une retransmission vidéo dans une salle voisine si nécessaire. »