La dose tolérable pour ses polluants présents dans l’alimentation ne sont pas respectées. Le constat de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), n’est pas encourageant. « L'EFSA confirme la conclusion d'évaluations précédentes selon lesquelles l'exposition alimentaire aux dioxines et aux PCB de type dioxine - des polluants environnementaux présents en faibles concentrations dans l'alimentation humaine et animale - constitue une préoccupation sanitaire. Les données recueillies en Europe indiquent un dépassement de la dose tolérable récemment mise à jour par l'EFSA pour tous les groupes d'âge » commence le communiqué de l’institution communautaire.
Les récentes recherches ont démontré que ces substances étaient plus nocives que ce qui avait été anticipé. Le dose hebdomadaire autorisée, que les professionnels appellent DHT, a été divisée par sept pour atteindre le niveau infime de deux picogrammes par kilogramme de poids corporel. Une prudence extrême qui s’explique par les caractéristiques particulières de ces substances nocives. « Les dioxines et les PCB de type dioxine sont des produits chimiques toxiques qui persistent dans l'environnement pendant de nombreuses années et qui s'accumulent à de faibles concentrations dans la chaîne alimentaire, généralement dans les tissus adipeux des animaux » explique le communiqué.
Si depuis les années 1990, la présence de ces substances est en chute libre mais elle reste un enjeu sanitaire de taille. « Les principales raisons de cette diminution du niveau trouvent leur origine dans la disponibilité de nouvelles données épidémiologiques et expérimentales sur la toxicité de ces substances chez l'animal, ainsi que l'apparition de techniques de modélisation plus sophistiquées permettant de prédire les niveaux de ces substances dans le corps humain au fil du temps. La nouvelle DHT protège des effets indésirables sur la qualité du sperme, qui se révèle l'effet sanitaire nocif observé aux concentrations les plus faibles de ces contaminants dans le sang humain » a déclaré le docteur Ron Hoogenboom, chargé du groupe de travail.
Les récentes recherches ont démontré que ces substances étaient plus nocives que ce qui avait été anticipé. Le dose hebdomadaire autorisée, que les professionnels appellent DHT, a été divisée par sept pour atteindre le niveau infime de deux picogrammes par kilogramme de poids corporel. Une prudence extrême qui s’explique par les caractéristiques particulières de ces substances nocives. « Les dioxines et les PCB de type dioxine sont des produits chimiques toxiques qui persistent dans l'environnement pendant de nombreuses années et qui s'accumulent à de faibles concentrations dans la chaîne alimentaire, généralement dans les tissus adipeux des animaux » explique le communiqué.
Si depuis les années 1990, la présence de ces substances est en chute libre mais elle reste un enjeu sanitaire de taille. « Les principales raisons de cette diminution du niveau trouvent leur origine dans la disponibilité de nouvelles données épidémiologiques et expérimentales sur la toxicité de ces substances chez l'animal, ainsi que l'apparition de techniques de modélisation plus sophistiquées permettant de prédire les niveaux de ces substances dans le corps humain au fil du temps. La nouvelle DHT protège des effets indésirables sur la qualité du sperme, qui se révèle l'effet sanitaire nocif observé aux concentrations les plus faibles de ces contaminants dans le sang humain » a déclaré le docteur Ron Hoogenboom, chargé du groupe de travail.