Il suffit d’essayer de se souvenir du dernier plateau repas consommé en avion. Sur le petit plateau, il y a quasiment autant de plastique que de nourriture. Et quand il faut rendre les déchets au personnel de bord, les grands sacs poubelles remplis à ras bord sont nombreux. Face à cette situation, Air Canada fait figure de compagnie pionnière. « À compter de l’été 2019, la compagnie canadienne remplacera les mélangeurs en plastique fournis avec les boissons qu’elle sert par des bâtonnets en bois, et ce, à bord de tous ses vols, ce qui permettra d’économiser 35 millions de bâtonnets en plastique par année – qui, mis bout à bout, permettraient de relier Halifax à Vancouver. Le nouveau bâtonnet d’Air Canada sera fabriqué en bambou et certifié par le Forest Stewardship Council, qui s’assure que les produits proviennent de sources responsables afin que les forêts demeurent des milieux prospères pour les générations à venir » nous apprend le site spécialisé Air Journal .
Evidemment, le principal impact environnemental d’une compagnie repose sur ses émissions de carburant. Mais si pour l’heure sur cet élément précis – sauf à optimiser l’espace à bord pour transporter le plus de passagers possible – il y a encore peu de leviers d’action. Pour autant, cette cause principale ne doit pas occulter les autres moyens d’agir. « Air Canada a axé ses processus décisionnels et ses méthodes de gestion sur le développement durable, ce qui comprend la nécessité d’agir dans le respect de l’environnement. Qu’il s’agisse de mesures en apparence modestes, comme l’élimination des bâtonnets en plastique, ou d’investissements majeurs, comme la modernisation de notre parc aérien au coût de 10 milliards de dollars, nous faisons de grands progrès dans l’exécution de nos programmes continus de développement durable : nous avons notamment amélioré l’efficacité énergétique de 43 % depuis 1990 » détaille la responsable environnement de la compagnie, Teresa Ehman, citée par Air Journal.
Evidemment, le principal impact environnemental d’une compagnie repose sur ses émissions de carburant. Mais si pour l’heure sur cet élément précis – sauf à optimiser l’espace à bord pour transporter le plus de passagers possible – il y a encore peu de leviers d’action. Pour autant, cette cause principale ne doit pas occulter les autres moyens d’agir. « Air Canada a axé ses processus décisionnels et ses méthodes de gestion sur le développement durable, ce qui comprend la nécessité d’agir dans le respect de l’environnement. Qu’il s’agisse de mesures en apparence modestes, comme l’élimination des bâtonnets en plastique, ou d’investissements majeurs, comme la modernisation de notre parc aérien au coût de 10 milliards de dollars, nous faisons de grands progrès dans l’exécution de nos programmes continus de développement durable : nous avons notamment amélioré l’efficacité énergétique de 43 % depuis 1990 » détaille la responsable environnement de la compagnie, Teresa Ehman, citée par Air Journal.