Vendredi 30 janvier, le ministre de l’Agriculture Sétphane Le Foll a présenté son plan pour l’agro écologie. « 2015 : an 1 de l’agroécologie » avaient trouvé les communicants du ministère. Ce plan vise à diminuer drastiquement les produits phytosanitaires avec un objectif de -50% d’ici 2025.
Lors de la présentation, le ministre a voulu convaincre de la possibilité de lutter contre les pesticides sans pour autant abandonner la compétitivité. Exercice difficile quand on sait à quel point le secteur primaire français est dans une situation délicate. Résultat, les commentateurs étaient partagés. Notant, le « paradoxe », Le Figaro est sceptique : « on ne sait s'il faut y voir un recul ou une avancée. Stéphane Le Foll, qui ne croyait pas aux objectifs affichés par le plan Ecophyto de 2008, veut réduire l'utilisation de pesticides par les agriculteurs de 50 % en 2025. C'est sept ans de plus que le but (assorti de la restriction «si possible») fixé en 2008,qui est loin d'être atteint: entre 2009 et 2013, l'utilisation de produits chimiques dans les champs aurait augmenté de 5 %! »
Lors de la présentation, le ministre a voulu convaincre de la possibilité de lutter contre les pesticides sans pour autant abandonner la compétitivité. Exercice difficile quand on sait à quel point le secteur primaire français est dans une situation délicate. Résultat, les commentateurs étaient partagés. Notant, le « paradoxe », Le Figaro est sceptique : « on ne sait s'il faut y voir un recul ou une avancée. Stéphane Le Foll, qui ne croyait pas aux objectifs affichés par le plan Ecophyto de 2008, veut réduire l'utilisation de pesticides par les agriculteurs de 50 % en 2025. C'est sept ans de plus que le but (assorti de la restriction «si possible») fixé en 2008,qui est loin d'être atteint: entre 2009 et 2013, l'utilisation de produits chimiques dans les champs aurait augmenté de 5 %! »
Les réactions ne se sont pas fait attendre du côté des acteurs de l’agriculture. Les producteurs de pesticides et certains représentants des agriculteurs ont regretté que le ministre ne s’engage pas sur la voie de l’impact environnemental des produits.
Pour répondre aux plus sceptiques, le ministre détaillé son programme : « Le plan, doté de 70 millions d'euros, prévoit aussi de développer la recherche et d'adopter des mesures permettant, d'une part de mieux utiliser les mécanismes naturels que les végétaux mettent en place pour se protéger, d'autre part de promouvoir les équipements écologiquement vertueux (par exemple, des pulvérisateurs permettant de mieux diffuser une quantité moindre de produits) » rapporte Le Figaro. Le plan st loin de faire l’unanimité. « Les premières annonces de Stéphane Le Foll doivent être impérativement complétées pour arriver rapidement à un plan Ecophyto 2 efficace et à la hauteur des enjeux et des alertes sanitaires et environnementales »affirme par communiqué la Fondation pour la nature et l’homme.
Pour répondre aux plus sceptiques, le ministre détaillé son programme : « Le plan, doté de 70 millions d'euros, prévoit aussi de développer la recherche et d'adopter des mesures permettant, d'une part de mieux utiliser les mécanismes naturels que les végétaux mettent en place pour se protéger, d'autre part de promouvoir les équipements écologiquement vertueux (par exemple, des pulvérisateurs permettant de mieux diffuser une quantité moindre de produits) » rapporte Le Figaro. Le plan st loin de faire l’unanimité. « Les premières annonces de Stéphane Le Foll doivent être impérativement complétées pour arriver rapidement à un plan Ecophyto 2 efficace et à la hauteur des enjeux et des alertes sanitaires et environnementales »affirme par communiqué la Fondation pour la nature et l’homme.