C’est un succès autant qu’un soulagement. Les enjeux étaient importants dans ce domaine complexe du financement de la transitions écologique. « La France a ouvert la voie mardi à la mise en place d'un véritable marché des emprunts d'Etat en faveur de l'environnement, en récoltant pour la première 7 milliards d'euros via une émission d' « obligations vertes», sur une durée de 22 ans et à un taux fixé à 1,75%, un taux comparable à des emprunts «classiques» de même durée » résume Le Parisien.
Ouverts aux investisseurs institutionnels le résultat est un succès avec l’engagement financier de banques, assurances mais aussi institutions publiques. Ces sept milliards donnent à la France les moyens de ses ambitions et notamment la mise en application de l’Accord de Paris, dont les moyens de financements constituent sans aucun doute le plus grand défi.
« La France n'est pas à proprement parler le premier pays à se lancer dans les emprunts «verts». En décembre, la Pologne avait inauguré l'entrée en jeu des Etats sur ce marché avec une émission d'un montant plus modeste de 750 millions d'euros. De par sa taille et sa maturité, «la transaction qui marque l'entrée des États sur le marché des obligations vertes, c'est celle de la France», a souligné lors d'un point presse Anthony Requin, directeur général de l'Agence France Trésor, l'agence de Bercy chargée de gérer la dette de la France » ajoute le quotidien.
L’opération pourrait n’être qu’une première étape dans ce sens puisque, toujours d’après les informations du Parisien, la demande totale de souscription était supérieure à 23 milliards d’euros. De quoi laisser penser que de nouvelles souscriptions pourront avoir lieu dans les prochaines semaines. Si la finance verte rapporte, elle pourrait devenir un lieu de rentabilité aux effets vertueux, affaire à suivre.
Lire ici en intégralité l’article du quotidien Le Parisien
Ouverts aux investisseurs institutionnels le résultat est un succès avec l’engagement financier de banques, assurances mais aussi institutions publiques. Ces sept milliards donnent à la France les moyens de ses ambitions et notamment la mise en application de l’Accord de Paris, dont les moyens de financements constituent sans aucun doute le plus grand défi.
« La France n'est pas à proprement parler le premier pays à se lancer dans les emprunts «verts». En décembre, la Pologne avait inauguré l'entrée en jeu des Etats sur ce marché avec une émission d'un montant plus modeste de 750 millions d'euros. De par sa taille et sa maturité, «la transaction qui marque l'entrée des États sur le marché des obligations vertes, c'est celle de la France», a souligné lors d'un point presse Anthony Requin, directeur général de l'Agence France Trésor, l'agence de Bercy chargée de gérer la dette de la France » ajoute le quotidien.
L’opération pourrait n’être qu’une première étape dans ce sens puisque, toujours d’après les informations du Parisien, la demande totale de souscription était supérieure à 23 milliards d’euros. De quoi laisser penser que de nouvelles souscriptions pourront avoir lieu dans les prochaines semaines. Si la finance verte rapporte, elle pourrait devenir un lieu de rentabilité aux effets vertueux, affaire à suivre.
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