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Aucun nouveau pays cultivateur d’OGM en 2013. Le rapport du service international pour l’acquisition d’applications biotechnologiques (Isaaa) montre que la filière OGM continue à progresser mais de manière bien moins importante que les années précédentes. Entre 2012 et 2013, les surfaces cultivées de ce type ont augmenté de 6% pour atteindre 175,2 millions d’hectares. Entre 2011 et 2012, les cultures commerciales d’OGM avaient progressé de 6%, entre 2010 et 2011 de 8%.
Etats-Unis et Brésil en tête
L’Egypte a arrêté la production commerciale d’OGM, en 2013 l’Allemagne, la Suède et la Pologne arrêtaient complètement la culture de plantes modifiées. En 2013, les surfaces de ce type ont diminué au Mexique, Canada et Australie.
En tête de classement, les Etats-Unis (70,1 millions ha) et le Brésil (40,3 millions ha) sont indéboulonnables. Arrivent ensuite la Chine, l’Inde et l’Argentine. Ces cinq pays représentent 41% de la population mondiale et 47% des surfaces totales cultivées.
La plupart des pays industrialisés et émergents frôlent les taux maximaux d’adoption d’environ 90%. L’Isaaa estime cependant que de fortes progressions pourraient être enregistrées dans certains pays comme le Burkina Faso, le Soudan ou le Brésil.
En tête de classement, les Etats-Unis (70,1 millions ha) et le Brésil (40,3 millions ha) sont indéboulonnables. Arrivent ensuite la Chine, l’Inde et l’Argentine. Ces cinq pays représentent 41% de la population mondiale et 47% des surfaces totales cultivées.
La plupart des pays industrialisés et émergents frôlent les taux maximaux d’adoption d’environ 90%. L’Isaaa estime cependant que de fortes progressions pourraient être enregistrées dans certains pays comme le Burkina Faso, le Soudan ou le Brésil.
Nouveaux pays et nouvelles technologies
Si l'avancée a tendance à se tasser, de nouveaux pays et de nouvelles technologies pourraient faire repartir la progression des cultures modifiées.
En 2013 certains pays, sans avoir commencé la commercialisation, ont lancé de vastes expérimentations. C’est le cas de ces sept pays africains : Egypte, Cameroun, Kenya, Ghana, Malawi, Nigeria et Ouganda. Ces pays ont testé différents types de cultures transgéniques, selon les pays il s’agissait de coton, maïs, banane ou patate douce. L’Isaaa estime que ces tests à grande échelle laissent présager une autorisation prochaine.
Actu-environnement.com, qui a consacré un article à ce rapport, conclue son papier par une ouverture sur de nouvelles perspectives de développement : « de nouvelles technologies pourraient être cultivées d'ici 2017 et augmenter les surfaces cultivées : un maïs tolérant à la sécheresse (testé aux Etats-Unis), le riz doré (testé aux Philippines), la canne à sucre résistante à la sécheresse (testée en Indonésie) et la dolique résistante aux insectes. »
En 2013 certains pays, sans avoir commencé la commercialisation, ont lancé de vastes expérimentations. C’est le cas de ces sept pays africains : Egypte, Cameroun, Kenya, Ghana, Malawi, Nigeria et Ouganda. Ces pays ont testé différents types de cultures transgéniques, selon les pays il s’agissait de coton, maïs, banane ou patate douce. L’Isaaa estime que ces tests à grande échelle laissent présager une autorisation prochaine.
Actu-environnement.com, qui a consacré un article à ce rapport, conclue son papier par une ouverture sur de nouvelles perspectives de développement : « de nouvelles technologies pourraient être cultivées d'ici 2017 et augmenter les surfaces cultivées : un maïs tolérant à la sécheresse (testé aux Etats-Unis), le riz doré (testé aux Philippines), la canne à sucre résistante à la sécheresse (testée en Indonésie) et la dolique résistante aux insectes. »