La RSE n’est plus une option, c’est une nécessité. Hormis quelques irréductibles, qui misent encore sur des prix défiants toutes concurrences, la plupart des entreprises qui font de la vente au détail l’on comprit. Dans un contexte où les entreprises sont souvent considérées comme les ennemis du bien commun, il est fondamental de montrer patte blanche et démontrer aux consommateurs que les produits ne sont pas mauvais pour l’environnement ou la société.
C’est en fait une tendance naturelle que nous observons dans le secteur du « retail » - la vente au détail. Une adaptation aux demandes des consommateurs. « Sur des marchés où les consommateurs réclament toujours plus de transparence, ne pas s’engager c’est risquer de perdre leur confiance. Ceci n’implique pas de se justifier à grand renfort de chiffres, ou en plantant des forêts mais en développant des actions simples sur les questions qui intéressent les consommateurs. Certaines marques ont déjà commencé à le faire en mettant au cœur de leurs stratégies marketing leurs engagements pour le Made in France dont on sait qu’il est aujourd’hui privilégié par 63% des français, pour l’économie locale, le retrait des adjuvants dangereux de leurs produits, ou encore les changements dans la provenance de leurs matières premières » rapporte un article fort intéressant de C B News qui s’appuie sur l’expérience d’un professionnel de la vente, Globe Group.
Cette situation, observée par des groupes qui n’ont aucun intérêt à fantasmer d’hypothétiques évolutions d’habitudes, officialise une nouvelle ère pour la RSE. D’un concept éthique visant à faire changer les entreprises de vocation en leur donnant une utilité sociale, elle consacre l’intérêt économique de l’engagement. Car si certaines marques ou produits peuvent encore déclencher acte d’achat sans déployer une communication vertueuse, la plupart des produits ne sauraient se distinguer sans prendre compte des nouveaux critères des consommateurs.
C’est en fait une tendance naturelle que nous observons dans le secteur du « retail » - la vente au détail. Une adaptation aux demandes des consommateurs. « Sur des marchés où les consommateurs réclament toujours plus de transparence, ne pas s’engager c’est risquer de perdre leur confiance. Ceci n’implique pas de se justifier à grand renfort de chiffres, ou en plantant des forêts mais en développant des actions simples sur les questions qui intéressent les consommateurs. Certaines marques ont déjà commencé à le faire en mettant au cœur de leurs stratégies marketing leurs engagements pour le Made in France dont on sait qu’il est aujourd’hui privilégié par 63% des français, pour l’économie locale, le retrait des adjuvants dangereux de leurs produits, ou encore les changements dans la provenance de leurs matières premières » rapporte un article fort intéressant de C B News qui s’appuie sur l’expérience d’un professionnel de la vente, Globe Group.
Cette situation, observée par des groupes qui n’ont aucun intérêt à fantasmer d’hypothétiques évolutions d’habitudes, officialise une nouvelle ère pour la RSE. D’un concept éthique visant à faire changer les entreprises de vocation en leur donnant une utilité sociale, elle consacre l’intérêt économique de l’engagement. Car si certaines marques ou produits peuvent encore déclencher acte d’achat sans déployer une communication vertueuse, la plupart des produits ne sauraient se distinguer sans prendre compte des nouveaux critères des consommateurs.