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On pourrait dire que c’est un projet futuriste s’il n’avait pas été lancé en 2014. A l’occasion du congrès mondial des systèmes de transports intelligents (STI) à Strasbourg, le ministère de la transition écologique et solidaire va présenter et défendre le projet européen SCOOP.
« SCOOP est un projet de déploiement pilote de systèmes de transport intelligents coopératifs, c'est-à-dire basés sur l'échange d'informations entre véhicules et entre le véhicule et la route. Les véhicules sont équipés d'unités embarquées qui transmettent les événements détectés automatiquement par les capteurs du véhicule (route glissante, choc, freinage brusque...) aux véhicules en amont ainsi qu'au gestionnaire de la route. Le gestionnaire peut aussi transmettre des informations aux unités embarquées dans les véhicules » résume le communiqué du ministère de Nicolas Hulot.
Lancé dans le courant de l’année 2014 le projet consiste à déployer 3 000 véhicules connectés en Ile-de-France, sur l’Autoroute A4, en Isère, dans l’agglomération de Bordeaux et en Bretagne. Financé pour moitié par l’Union européenne il devrait s’achever en 2018. Le déploiement s’articule en deux temps, explique le ministère chargé également des transports : «La première vague (2014-2017) est centrée sur des services d'alertes sur les chantiers et sur les événements inopinés et dangereux, ainsi que sur la collecte de données pour le gestionnaire.» Ensuite, continue le texte publié sur le site du ministère , « La seconde vague (2016-2018) inclut de nouveaux services et explore les possibilités d'une technologie mixte wifi/cellulaire où le cellulaire (3G/4G) prend le relais du wifi dans les zones non couvertes par les unités bord de route. Les spécifications sont en cours de rédaction. SCOOP est aussi un projet européen : il organise des tests croisés avec l'Autriche, l'Espagne et le Portugal pour contrôler l'interopérabilité des systèmes. »
« SCOOP est un projet de déploiement pilote de systèmes de transport intelligents coopératifs, c'est-à-dire basés sur l'échange d'informations entre véhicules et entre le véhicule et la route. Les véhicules sont équipés d'unités embarquées qui transmettent les événements détectés automatiquement par les capteurs du véhicule (route glissante, choc, freinage brusque...) aux véhicules en amont ainsi qu'au gestionnaire de la route. Le gestionnaire peut aussi transmettre des informations aux unités embarquées dans les véhicules » résume le communiqué du ministère de Nicolas Hulot.
Lancé dans le courant de l’année 2014 le projet consiste à déployer 3 000 véhicules connectés en Ile-de-France, sur l’Autoroute A4, en Isère, dans l’agglomération de Bordeaux et en Bretagne. Financé pour moitié par l’Union européenne il devrait s’achever en 2018. Le déploiement s’articule en deux temps, explique le ministère chargé également des transports : «La première vague (2014-2017) est centrée sur des services d'alertes sur les chantiers et sur les événements inopinés et dangereux, ainsi que sur la collecte de données pour le gestionnaire.» Ensuite, continue le texte publié sur le site du ministère , « La seconde vague (2016-2018) inclut de nouveaux services et explore les possibilités d'une technologie mixte wifi/cellulaire où le cellulaire (3G/4G) prend le relais du wifi dans les zones non couvertes par les unités bord de route. Les spécifications sont en cours de rédaction. SCOOP est aussi un projet européen : il organise des tests croisés avec l'Autriche, l'Espagne et le Portugal pour contrôler l'interopérabilité des systèmes. »