Et si la mise en place d’une stratégie RSE ambitieuse permettait aux entreprises de recevoir des récompenses ? C’est autour de cette question que l’organisation patronale CPME a invité les différents partenaires sociaux à venir discuter à son siège de La Défense. François Asselin, le responsable de l’organisation, défend l’idée qu’il faudrait alléger certaines démarches administratives des entreprises qui s’engagent. Une proposition ambitieuse qui aurait le mérite de donner une nouvelle motivation pour mettre en place une stratégie RSE.
La discussion qui doit se tenir le 1er février se fera de toute façon sans le Medef qui a annoncé qu’il ne se rendrait pas à l’invitation. « Le sujet RSE n'est pas prioritaire aujourd'hui, glisse-t-on dans l'entourage de Pierre Gattaz. Le mouvement aurait-il du mal à se plier à un agenda qui n'est pas le sien ? » commente et s’interroge le magazine L’Express.
« Nous souhaiterions qu'un jour les démarches RSE des entreprises soient davantage reconnues, encouragées, et surtout, qu'elles permettent de se soustraire d'un formalisme administratif contraignant » explique François Asselin, cité par le magazine. « Aujourd'hui, une entreprise de plus de cinquante salariés doit négocier un plan égalité hommes-femmes, un plan senior, un plan pénibilité, elle doit aussi mener des entretiens individuels professionnels tous les deux ans, etc. En cas de manquements, il y a potentiellement des pénalités. Et ce alors que par ailleurs, l'entreprise peut être engagée dans une démarche RSE beaucoup plus profonde » continue-t-il.
En mettant à contribution les organismes de certification, la CPME propose que l’analyse de l’engagement des entreprises soit globale et non domaine par domaine. Une idée intéressante qui aurait au moins le mérite de ne pas décourager les bonnes volontés et donner des fruits immédiats.
La discussion qui doit se tenir le 1er février se fera de toute façon sans le Medef qui a annoncé qu’il ne se rendrait pas à l’invitation. « Le sujet RSE n'est pas prioritaire aujourd'hui, glisse-t-on dans l'entourage de Pierre Gattaz. Le mouvement aurait-il du mal à se plier à un agenda qui n'est pas le sien ? » commente et s’interroge le magazine L’Express.
« Nous souhaiterions qu'un jour les démarches RSE des entreprises soient davantage reconnues, encouragées, et surtout, qu'elles permettent de se soustraire d'un formalisme administratif contraignant » explique François Asselin, cité par le magazine. « Aujourd'hui, une entreprise de plus de cinquante salariés doit négocier un plan égalité hommes-femmes, un plan senior, un plan pénibilité, elle doit aussi mener des entretiens individuels professionnels tous les deux ans, etc. En cas de manquements, il y a potentiellement des pénalités. Et ce alors que par ailleurs, l'entreprise peut être engagée dans une démarche RSE beaucoup plus profonde » continue-t-il.
En mettant à contribution les organismes de certification, la CPME propose que l’analyse de l’engagement des entreprises soit globale et non domaine par domaine. Une idée intéressante qui aurait au moins le mérite de ne pas décourager les bonnes volontés et donner des fruits immédiats.