Le plan antipollution de la mairie de Paris continue à être développé petit à petit. Parmi les dispositions les plus fortes, le conseil de Paris se penche actuellement sur l’extension des zonez de réduction de la vitesse à 30 km/h. D’ici la fin de l’année 2015, un tiers des rues de la capitale pourraient être sous cette enseigne. « Le nouveau périmètre concerne l’ensemble de l’hyper-centre, les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements, et plusieurs quartiers de l’est parisien. Ces zones seront identifiées par des panneaux de signalisation et un marquage au sol, les vélos seront autorisés à y rouler en double sens. Au total 88 km de voies seront classés en zone 30 » détaille Le Monde.
Généralisation d'ici à 2020
« Ce n’est qu’une étape. Anne Hidalgo propose de généraliser, d’ici à 2020, le dispositif à 90 % du territoire. L’autorisation de rouler à 50 km/h devrait devenir une exception, maintenue sur les axes urbains à fort trafic. Ce n’est qu’une étape. Anne Hidalgo propose de généraliser, d’ici à 2020, le dispositif à 90 % du territoire. L’autorisation de rouler à 50 km/h devrait devenir une exception, maintenue sur les axes urbains à fort trafic » continue le quotidien. Pour mettre en place ce dispositif, la mairie doit marcher main dans la main avec la Préfecture de Police d’Ile-de-France, à qui le dernier mot sera laissé.
Les défenseurs du projet à la mairie expliquent que cette mesure va non seulement permettre de limiter la pollution mais aussi de révolutionner la vision du centre-ville. « Nous voulons modérer la cohabitation dans la capitale. Or, à 30 kilomètres à l’heure, la rue apparaît comme un espace commun, tandis qu’à 50 km/h, on reste dans une logique de séparation entre conducteurs de véhicules, piétons, cyclistes… La rue n’est pas une route ! » affirme Christophe Najdovski, maire adjoint EELV, cité par Le Monde.
Pour aller encore plus loin, la mairie envisage de créer des zones limitées à 20 km/h pour donner un peu plus encore la priorité aux piétons. En parallèle des mesures de suppressions de places de parking risquent d’être mal accueillies par les associations d’automobilistes.
Les défenseurs du projet à la mairie expliquent que cette mesure va non seulement permettre de limiter la pollution mais aussi de révolutionner la vision du centre-ville. « Nous voulons modérer la cohabitation dans la capitale. Or, à 30 kilomètres à l’heure, la rue apparaît comme un espace commun, tandis qu’à 50 km/h, on reste dans une logique de séparation entre conducteurs de véhicules, piétons, cyclistes… La rue n’est pas une route ! » affirme Christophe Najdovski, maire adjoint EELV, cité par Le Monde.
Pour aller encore plus loin, la mairie envisage de créer des zones limitées à 20 km/h pour donner un peu plus encore la priorité aux piétons. En parallèle des mesures de suppressions de places de parking risquent d’être mal accueillies par les associations d’automobilistes.