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Qu’il s’agisse des épisodes de gel, de sécheresse ou d’ensoleillement, lorsque les crises se répètent année sur année, c’est qu’il faut s’interroger sur l’adéquation du projet agricole avec le lieu. C’est cette réflexion qui saute aux yeux après le reportage de France 2 sur les cultures et la sécheresse. « Vont-ils disparaître de nos vergers ? Pommes, poires, pêches et beaucoup d'autres fruits sont menacés par le changement climatique. D'ici 2030, cultiver tous ses fruits pourrait s'avérer très risqué dans la moitié des zones actuelles à cause des vagues de chaleur, du gel et du manque de pluie. Certains producteurs testent de nouvelles variétés, d'autres imaginent carrément de nouvelles cultures adaptées à un climat plus chaud l'été : des amandiers dans le sud-ouest, des figues, des grenades et des kakis dans le sud-est et des noix et des noisettes plus au nord » rapporte franceinfo .
Sans que cela signifie que l’on doit voir le changement climatique ou la gestion de l’eau comme des données immuables, certains constants s’imposent à nous. De la même manière que les viticulteurs envisagent de s’installer de plus en plus au Nord de la France, certaines cultures traditionnellement réservées au sud pourrait bien commencer leur migration. « Les paysages de l'Hexagone pourraient considérablement changer d'ici 30 ans. C'est justement ce qu'étudie une cellule d'un cabinet d'assurances, pour conseiller les agriculteurs. Le rendement, une source d'inquiétude pour les arboriculteurs, pourrait s'améliorer face au réchauffement climatique en diversifiant les cultures. "Un arboriculteur qui produisait uniquement un type de fruits sera amené demain sans doute à diversifier son verger pour mieux absorber un risque spécifique d'une année sur une production de pêches, d'abricots ou de poires", explique Vincent Marchal, ingénieur agronome chez Axa Climate », rapporte le JT de France 2.
Sans que cela signifie que l’on doit voir le changement climatique ou la gestion de l’eau comme des données immuables, certains constants s’imposent à nous. De la même manière que les viticulteurs envisagent de s’installer de plus en plus au Nord de la France, certaines cultures traditionnellement réservées au sud pourrait bien commencer leur migration. « Les paysages de l'Hexagone pourraient considérablement changer d'ici 30 ans. C'est justement ce qu'étudie une cellule d'un cabinet d'assurances, pour conseiller les agriculteurs. Le rendement, une source d'inquiétude pour les arboriculteurs, pourrait s'améliorer face au réchauffement climatique en diversifiant les cultures. "Un arboriculteur qui produisait uniquement un type de fruits sera amené demain sans doute à diversifier son verger pour mieux absorber un risque spécifique d'une année sur une production de pêches, d'abricots ou de poires", explique Vincent Marchal, ingénieur agronome chez Axa Climate », rapporte le JT de France 2.