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Pour ceux qui portent des choses lourdes ou même ceux qui font un travail qui nécessite de rester assis face à un écran toute la journée, la lombalgie est le pire ennemi. D’après un rapport de l’Assurance maladie sorti en début de semaine, pas moins d’un accident de travail sur cinq soit deux fois plus qu’il y a dix ans et pour un coût estimé d’un milliard d’euros. « Alors que la fréquence des accidents de travail atteint un niveau des plus bas depuis 70 ans (33,9 accidents avec arrêt pour 1 000 salariés), cette maladie continue de progresser. En effet, en 2005, 146 000 cas de lombalgie liés à un accident de travail ont été enregistrés alors qu’ils étaient 167 000 en 2015. Dans le même temps, le nombre d’accidents du travail a reculé d’environ 1,1 million à un peu plus de 800 000 en dix ans » explique le site Pourquoi Docteur.
« Pour ces tours de rein en lien avec un accident de travail (manutention manuelle ou chute), la très grande majorité surviennent « de manière brutale » et évolue « sans séquelles ». Plus de la moitié des arrêts de travail durent moins de deux semaines. Mais en moyenne, les arrêts de travail durent plus de deux mois. En revanche, 5 % de ces accidents donnent lieu à une incapacité permanente. Le bilan de l’Assurance maladie met également en lumière que ce trouble musculo-squelettiques s’inscrit dans une « récurrence d’accidents ». Sept salariés sur 10 frappés par un lumbago ont déjà été victime d’accident du travail au cours de leur vie professionnelle, et un tiers a déjà expérimenté la lombalgie » continue le site spécialisé.
Dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, un engagement responsable et attentif aux besoins de chacun est nécessaire de la part de l’employeur. Il est important de créer un dialogue avec les collaborateurs en cherchant à savoir ce qui peut être amélioré. Quelques petits arrangements des postes de travail en conformité avec les conseils généraux des professionnels de santé peuvent parfois suffire à faire la différence.
« Pour ces tours de rein en lien avec un accident de travail (manutention manuelle ou chute), la très grande majorité surviennent « de manière brutale » et évolue « sans séquelles ». Plus de la moitié des arrêts de travail durent moins de deux semaines. Mais en moyenne, les arrêts de travail durent plus de deux mois. En revanche, 5 % de ces accidents donnent lieu à une incapacité permanente. Le bilan de l’Assurance maladie met également en lumière que ce trouble musculo-squelettiques s’inscrit dans une « récurrence d’accidents ». Sept salariés sur 10 frappés par un lumbago ont déjà été victime d’accident du travail au cours de leur vie professionnelle, et un tiers a déjà expérimenté la lombalgie » continue le site spécialisé.
Dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, un engagement responsable et attentif aux besoins de chacun est nécessaire de la part de l’employeur. Il est important de créer un dialogue avec les collaborateurs en cherchant à savoir ce qui peut être amélioré. Quelques petits arrangements des postes de travail en conformité avec les conseils généraux des professionnels de santé peuvent parfois suffire à faire la différence.