ILD
Anne Hidalgo, la maire de Paris, va présenter à la fin du mois une charte de téléphonie mobile au Conseil de la ville. L’idée est d’agir sur l’exposition des habitants aux ondes électromagnétiques sans pour autant renoncer au réseau performant de la capitale. « Quelque 2 240 antennes-relais sont aujourd’hui disséminées sur les toits de la capitale. Pour encadrer ce secteur, vis-à-vis duquel elle ne possède pas de compétences juridiques, la Ville a signé depuis 2003, avec les trois opérateurs historiques, Bouygues Telecom, Orange et SFR, rejoints en 2010 par Free Mobile, une « charte relative à la téléphonie mobile », renouvelée depuis à plusieurs reprises » raconte Le Monde.
Actuellement les niveaux autorisés datent de 2012 et plafonnent à 5 V/m (volts par mètre) les niveaux pour la 2G ou 3G et 7 V/m pour la 4G. Le document présenté fin mars au Conseil de Paris ramène à 5 V/m ce niveau, ce qui représente une baisse de 30%.
« En réalité, indique la municipalité, le seuil de 5 V/m n’est aujourd’hui jamais dépassé à Paris, à l’exception de quelques très rares points dits « atypiques ». Sur la période 2013-2015, la moyenne mesurée était de 0,36 V/m dans les lieux de vie en général, avec un niveau un peu plus élevé dans les appartements (0,5 V/m) que dans les écoles et les crèches (0,26 V/m).
La nouvelle norme n’en va pas moins contraindre les opérateurs à s’adapter, d’autant qu’elle s’appliquera aussi à la 5G, dont le déploiement est attendu dans les prochaines années. Pour la respecter, ils devront à l’avenir implanter des antennes-relais moins puissantes, ce qui signifie qu’elles seront plus nombreuses » commente Le Monde.
Du côté des associations qui militent contre les ondes électromagnétiques, 5 V/m reste un niveau trop important. Citée par le quotidien, la présidente de l’association Priartem estime que ce niveau « ne correspond nullement à un seuil de protection sanitaire. »
Actuellement les niveaux autorisés datent de 2012 et plafonnent à 5 V/m (volts par mètre) les niveaux pour la 2G ou 3G et 7 V/m pour la 4G. Le document présenté fin mars au Conseil de Paris ramène à 5 V/m ce niveau, ce qui représente une baisse de 30%.
« En réalité, indique la municipalité, le seuil de 5 V/m n’est aujourd’hui jamais dépassé à Paris, à l’exception de quelques très rares points dits « atypiques ». Sur la période 2013-2015, la moyenne mesurée était de 0,36 V/m dans les lieux de vie en général, avec un niveau un peu plus élevé dans les appartements (0,5 V/m) que dans les écoles et les crèches (0,26 V/m).
La nouvelle norme n’en va pas moins contraindre les opérateurs à s’adapter, d’autant qu’elle s’appliquera aussi à la 5G, dont le déploiement est attendu dans les prochaines années. Pour la respecter, ils devront à l’avenir implanter des antennes-relais moins puissantes, ce qui signifie qu’elles seront plus nombreuses » commente Le Monde.
Du côté des associations qui militent contre les ondes électromagnétiques, 5 V/m reste un niveau trop important. Citée par le quotidien, la présidente de l’association Priartem estime que ce niveau « ne correspond nullement à un seuil de protection sanitaire. »