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Ce n’est pas uniquement que leur activité impacte directement la biodiversité. L’industrie minière est également centrale parce qu’avec la transition énergétique et l’explosion des énergies renouvelables et des énergies électriques, les métaux rares sont un enjeu planétaire. Des circonstances exceptionnelles qui poussent le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) à publier un long communiqué à ce sujet.
« Les exploitations minières mal gérées peuvent être responsables de la pollution de l'environnement et participent à endommager la biodiversité indispensable aux économies en fournissant des denrées alimentaires, du combustible, des matériaux de construction et de l'eau douce, et en contribuant à atténuer les effets du changement climatique et des catastrophes naturelles. Des écosystèmes sains sont également nécessaires aux opérations des sociétés minières : un approvisionnement en eau fiable et, dans les zones côtières, une protection contre les ondes de tempête - ce que peuvent fournir les mangroves - sont cruciaux » commence le texte.
Le PNUE rappelle ensuite que les métaux rares ne sont pas les seules ressources dont l’utilisation va exploser dans les prochaines années : bauxite, charbon, fer, cuivre, diamant et étain sont également concernés. Une réalité qui pousse le programme de l’ONU à encourager les groupes miniers à s’engager dans le développement durable. « La Convention sur la diversité biologique a ouvert le débat sur la manière dont la prise en compte de la diversité biologique dans les politiques et approches peut devenir une pratique courante dans les secteurs de l'énergie et des mines. Ces discussions sont appuyées par le Centre mondial de surveillance de la conservation d'ONU Environnement. Cette question, appelée « intégration » de la biodiversité, sera débattue lors de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité, qui aura lieu à Charm el-Cheikh, en novembre 2018, pour laquelle les parties à la Convention sur la diversité biologique se réuniront » poursuit le communiqué.
« Les exploitations minières mal gérées peuvent être responsables de la pollution de l'environnement et participent à endommager la biodiversité indispensable aux économies en fournissant des denrées alimentaires, du combustible, des matériaux de construction et de l'eau douce, et en contribuant à atténuer les effets du changement climatique et des catastrophes naturelles. Des écosystèmes sains sont également nécessaires aux opérations des sociétés minières : un approvisionnement en eau fiable et, dans les zones côtières, une protection contre les ondes de tempête - ce que peuvent fournir les mangroves - sont cruciaux » commence le texte.
Le PNUE rappelle ensuite que les métaux rares ne sont pas les seules ressources dont l’utilisation va exploser dans les prochaines années : bauxite, charbon, fer, cuivre, diamant et étain sont également concernés. Une réalité qui pousse le programme de l’ONU à encourager les groupes miniers à s’engager dans le développement durable. « La Convention sur la diversité biologique a ouvert le débat sur la manière dont la prise en compte de la diversité biologique dans les politiques et approches peut devenir une pratique courante dans les secteurs de l'énergie et des mines. Ces discussions sont appuyées par le Centre mondial de surveillance de la conservation d'ONU Environnement. Cette question, appelée « intégration » de la biodiversité, sera débattue lors de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité, qui aura lieu à Charm el-Cheikh, en novembre 2018, pour laquelle les parties à la Convention sur la diversité biologique se réuniront » poursuit le communiqué.