ILD
Jusqu’où peut-on aller avec une collègue dans la grivoiserie ou la plaisanterie ? Quels gestes ou astuces sont déplacées ? Qui aller voir quand un supérieur se comporte mal ? Autant de questions qui se posent dans l’entreprise en cette période de dénonciation généralisée du harcèlement.
Dans quasiment toutes les entreprises il y a "le lourd de service". Celui qui ne sait pas s’arrêter et n’identifie pas comme les autres les limites de la bienséance et du bon goût. Mais il n’y a pas que lui. Les cas de harcèlement sont malheureusement très répandus en entreprise. Qui n’a pas déjà entendu parler de situations d’abus de pouvoir, de suggestions et comportements qui s’apparentent à des agressions (mains baladeuses, obstacle de son corps, suggestions indécentes…) ? D’après un chiffre d’une enquête de 2014 rapporté par La Tribune 20% des femmes qui travaillent affirment avoir connu une situation de harcèlement dans le cadre de leur travail. « Autres faits alarmants, 3 victimes sur 10 n'ont confié à personne ce qu'elles vivaient et 65% des déclarantes ont estimé n'avoir pu, malgré tout, compter que sur elles-mêmes. Pis, 40% des femmes actives ayant été victimes de harcèlement ont estimé que l'affaire s'était achevée à leur détriment : mutation, contrat non-renouvelé, démission forcée... » explique le site internet d’informations économiques.
Face à cette situation l’entreprise doit développer des outils efficaces. Un chef qui se comporte mal, un collègue harceleur, il doit exister des contre-pouvoirs dans l’entreprise pour permettre de se prémunir et protéger les victimes. Il pourrait par exemple être adapté de désigner quelques femmes responsables de la question et vers lesquelles les victimes peuvent se manifester sans craindre de jugement ou de conséquences professionnelles. Ce qui est certain, c’est qu’une entreprise où les harceleurs peuvent se comporter de manière abjecte en toute impunité, est une entreprise mal organisée et où les RH ne font pas correctement leur travail.
Dans quasiment toutes les entreprises il y a "le lourd de service". Celui qui ne sait pas s’arrêter et n’identifie pas comme les autres les limites de la bienséance et du bon goût. Mais il n’y a pas que lui. Les cas de harcèlement sont malheureusement très répandus en entreprise. Qui n’a pas déjà entendu parler de situations d’abus de pouvoir, de suggestions et comportements qui s’apparentent à des agressions (mains baladeuses, obstacle de son corps, suggestions indécentes…) ? D’après un chiffre d’une enquête de 2014 rapporté par La Tribune 20% des femmes qui travaillent affirment avoir connu une situation de harcèlement dans le cadre de leur travail. « Autres faits alarmants, 3 victimes sur 10 n'ont confié à personne ce qu'elles vivaient et 65% des déclarantes ont estimé n'avoir pu, malgré tout, compter que sur elles-mêmes. Pis, 40% des femmes actives ayant été victimes de harcèlement ont estimé que l'affaire s'était achevée à leur détriment : mutation, contrat non-renouvelé, démission forcée... » explique le site internet d’informations économiques.
Face à cette situation l’entreprise doit développer des outils efficaces. Un chef qui se comporte mal, un collègue harceleur, il doit exister des contre-pouvoirs dans l’entreprise pour permettre de se prémunir et protéger les victimes. Il pourrait par exemple être adapté de désigner quelques femmes responsables de la question et vers lesquelles les victimes peuvent se manifester sans craindre de jugement ou de conséquences professionnelles. Ce qui est certain, c’est qu’une entreprise où les harceleurs peuvent se comporter de manière abjecte en toute impunité, est une entreprise mal organisée et où les RH ne font pas correctement leur travail.