Creative Commons - Pixabay
Les abeilles doivent être sauvées, les produits chimiques disparaitre de nos sols. Si les enjeux environnementaux nous poussent à considérer notre impact environnemental au quotidien, concernant le jardin c’est encore plus évident. Pour ceux qui en ont un, qu’il s’agisse d’un petit carré de cour ou d’une vaste étendue, c’est un peu le lieu où l’on peut évaluer la cohérence entre les discours et les actes. Et de ce point de vue, se dire écolo et avoir un gazon impeccable ne tient pas la route. « Chez nous, les 12 millions de jardins avec pelouse ont fait éclore un marché (semences, outillage, produits…) de près d’un milliard d’euros, « dont 82 millions pour les semences de gazon destinées aux particuliers, qui sont en plein boum », évalue Jean-Marc Lecourt, président de l’association Société française des gazons. On friserait même la « pénurie européenne », à croire la Semae, interprofession des semences et plants. Chez Gamm vert et Jardiland, jardineries du groupe InVivo, le printemps 2021, côté graines de gazon, a été plus florissant encore que celui de 2019 (dernière comparaison possible), appuie Carole Fischel, qui y dirige le secteur végétal » relève Le Monde.
Le quotidien publie un article complet à ce sujet. Évoquant l’histoire du gazon - qui était réservé à quelques privilégiés – mais surtout les difficultés rencontrées par les paysagistes à convaincre leurs clients de l’intérêt des prés plutôt que des gazons type moquettes. Car outre le fait que les prés et la variété de ce qui y pousse a des bienfaits pour la biodiversité, les besoins en eau augmentent avec les températures. Aux États-Unis, certains endroits touchés par les sécheresse s’apprêtent à interdire les gazons tandis que d’autres proposent des primes à ceux qui s’en détournent. Et en France, si les produits pour le gazon ont encore beaucoup de succès, les paysagistes les plus à la mode proposent des alternatives plus sauvages. Demain qui sait, ce seront peut-être les herbes folles et autres « couloirs écologiques » qui seront la marque des nouveaux privilégiés.
Le quotidien publie un article complet à ce sujet. Évoquant l’histoire du gazon - qui était réservé à quelques privilégiés – mais surtout les difficultés rencontrées par les paysagistes à convaincre leurs clients de l’intérêt des prés plutôt que des gazons type moquettes. Car outre le fait que les prés et la variété de ce qui y pousse a des bienfaits pour la biodiversité, les besoins en eau augmentent avec les températures. Aux États-Unis, certains endroits touchés par les sécheresse s’apprêtent à interdire les gazons tandis que d’autres proposent des primes à ceux qui s’en détournent. Et en France, si les produits pour le gazon ont encore beaucoup de succès, les paysagistes les plus à la mode proposent des alternatives plus sauvages. Demain qui sait, ce seront peut-être les herbes folles et autres « couloirs écologiques » qui seront la marque des nouveaux privilégiés.