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En 2018, 572 440 coupures ou limitations de puissance ont été effectuées pour cause d’impayés. C’est plus qu’en 2017, annonce le médiateur national de l’énergie à une semaine de la fin de la trêve hivernale. C’est une hausse de 4,2% d’interventions mais qu’il faut prendre avec des pincettes. En effet, en 2017 une baisse de 10% avait été enregistrée.
« Dans le détail, 477.349 interventions ont concerné l'électricité et 95.091 le gaz naturel, ce qui représente des hausses respectives de 4,9% et de 0,8% par rapport à 2017. « Le prix de l'énergie augmente inéluctablement compte tenu du contexte économique », a commenté Jean Gaubert, médiateur national de l'énergie, cité dans le communiqué. « Aucune promesse politique ne peut combattre cette hausse. Cependant, il est indispensable que notre société protège les personnes les plus vulnérables », a-t-il souligné » rapporte Le Figaro .
« Pendant la trêve hivernale, les fournisseurs ne peuvent pas interrompre la fourniture d'énergie pour une résidence principale au motif d'un impayé. Ils peuvent en revanche procéder à des réductions de puissance, sauf pour les bénéficiaires du chèque énergie. Le dispositif du chèque énergie, qui aide les ménages en situation de précarité à payer leurs factures, a remplacé les tarifs sociaux de l'électricité début 2018 » rappelle le quotidien.
Reste que les chiffres montrent qu’une proportion importante de français rencontrent un véritable problème pour régler leurs dépenses d’énergie. En 2016, les chiffres officiels estimaient qu’un Français sur cinq était concerné par ce problème. Cette année, le médiateur national propose deux mesures pour venir en aides aux personnes touchées par la précarité énergétique. Il avance l’idée d’un « fournisseur de dernier recours » pour les personnes qui ne peuvent pas souscrire un contrat pour des raisons financières avec un fournisseur classique. « Il propose également d'imposer un « niveau de performance énergétique minimal » obligatoire pour les logements mis en location, « afin de supprimer les passoires énergétiques », ces habitations très énergivores » relève Le Figaro.
« Dans le détail, 477.349 interventions ont concerné l'électricité et 95.091 le gaz naturel, ce qui représente des hausses respectives de 4,9% et de 0,8% par rapport à 2017. « Le prix de l'énergie augmente inéluctablement compte tenu du contexte économique », a commenté Jean Gaubert, médiateur national de l'énergie, cité dans le communiqué. « Aucune promesse politique ne peut combattre cette hausse. Cependant, il est indispensable que notre société protège les personnes les plus vulnérables », a-t-il souligné » rapporte Le Figaro .
« Pendant la trêve hivernale, les fournisseurs ne peuvent pas interrompre la fourniture d'énergie pour une résidence principale au motif d'un impayé. Ils peuvent en revanche procéder à des réductions de puissance, sauf pour les bénéficiaires du chèque énergie. Le dispositif du chèque énergie, qui aide les ménages en situation de précarité à payer leurs factures, a remplacé les tarifs sociaux de l'électricité début 2018 » rappelle le quotidien.
Reste que les chiffres montrent qu’une proportion importante de français rencontrent un véritable problème pour régler leurs dépenses d’énergie. En 2016, les chiffres officiels estimaient qu’un Français sur cinq était concerné par ce problème. Cette année, le médiateur national propose deux mesures pour venir en aides aux personnes touchées par la précarité énergétique. Il avance l’idée d’un « fournisseur de dernier recours » pour les personnes qui ne peuvent pas souscrire un contrat pour des raisons financières avec un fournisseur classique. « Il propose également d'imposer un « niveau de performance énergétique minimal » obligatoire pour les logements mis en location, « afin de supprimer les passoires énergétiques », ces habitations très énergivores » relève Le Figaro.