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Sortir armé pour se défendre en cas d’attaque d’ours polaires. Voilà la nouvelle vie qui s’annonce pour les habitants d’un archipel de Norvège. « Dans un archipel norvégien, les ours polaires sont de plus en plus agressifs. Ils s'en prennent aux rennes faute de phoques, difficiles à chasser avec la fonte des glaces. Les hommes sont aussi menacés et doivent s'entraîner à manier les armes pour se protéger. Ils sont les emblèmes de tout un territoire. À 1 000 kilomètres du Pôle Nord, l'archipel norvégien du Svalbard compte plus d'ours polaires que d'habitants. Mais aujourd'hui, l'espèce est menacée. Jason Roberts, directeur de Polar X, examine ces géants polaires depuis 30 ans. Il a mené des dizaines d'expéditions sur la banquise, toujours plus près des ours. Jusqu'ici, ils se nourrissaient presque exclusivement de carcasses et de phoques. Mais il y a quelques mois, des chercheurs ont filmé pour la première fois un ours polaire chasser un renne » rapporte FranceInfo.
Il s’agit pour l’heure d’observations basées sur leurs habitudes et sur la réalité du changement climatique. Mais s’il n’y a pas encore eu de recherche scientifique global, la logique est implacable et basée sur le comportement de ce mammifère : « L'animal poursuit sa proie jusque dans l'eau, avant de la rapporter sur le rivage. Pour les spécialistes, c'est la preuve qu'avec la fonte des glaces, l'ours polaire doit désormais se rabattre sur des proies terrestres. Dans les villes, des avertissements sont affichés. Pour partir en randonnée, il faut être impérativement armé. Les habitants ne se disent pas particulièrement inquiets, mais ils restent à l'affût en permanence. » Une réalité qu’il serait bon de brandir auprès de ceux qui, en dépit du bon sens et des observations les plus vérifiables, continuent à dire que la glace ne fond pas aux pôles et que le réchauffement n’existe pas.
Il s’agit pour l’heure d’observations basées sur leurs habitudes et sur la réalité du changement climatique. Mais s’il n’y a pas encore eu de recherche scientifique global, la logique est implacable et basée sur le comportement de ce mammifère : « L'animal poursuit sa proie jusque dans l'eau, avant de la rapporter sur le rivage. Pour les spécialistes, c'est la preuve qu'avec la fonte des glaces, l'ours polaire doit désormais se rabattre sur des proies terrestres. Dans les villes, des avertissements sont affichés. Pour partir en randonnée, il faut être impérativement armé. Les habitants ne se disent pas particulièrement inquiets, mais ils restent à l'affût en permanence. » Une réalité qu’il serait bon de brandir auprès de ceux qui, en dépit du bon sens et des observations les plus vérifiables, continuent à dire que la glace ne fond pas aux pôles et que le réchauffement n’existe pas.