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Il ne faut pas nécessairement faire des travaux pour révolutionner sa facture énergétique. Si évidemment des grandes évolutions d’isolation ont un impact clé, beaucoup d’autres gestes très simples peuvent avoir un impact important. « Alors que les appareils électriques et électroniques de la maison tournent à plein régime pendant le confinement, pour éviter de se retrouver avec une facture trop salée, des petits gestes du quotidien permettent de réduire la note tout en limitant son impact environnemental » introduit L’Infodurable qui consacre un article à ces astuces.
De manière générale, il faut interroger l’utilité de nos habitudes. Les lave-linge et lave-vaisselle par exemple ne doivent pas forcément être lancés à la même température et avec les mêmes durées. « Mais il est également bon de savoir que la fonction "séchage" pour la vaisselle consomme à la fois de l'eau et de l'énergie : on peut donc zapper cette étape en ouvrant simplement la porte de l'appareil et en laissant sécher la machine à l'air libre. Et il en est de même pour le linge : mieux vaut opter pour l'option étendoir, que l'on dispose dans la pièce la plus grande et la plus aérée et ainsi éviter l'étape sèche-linge, très énergivore. Bien sûr, il faudra toujours veiller à faire tourner ses machines lorsqu'elles sont pleines et pourquoi pas privilégier les "heures creuses" dans la mesure du possible : à déterminer auprès de son fournisseur d'électricité » explique l’article.
Ensuite, tous les appareils quels qu’ils soient, chauffage, internet, ordinateurs, téléphone, peuvent être débranchés quand ils ne sont pas utilisés. Des économies d’énergie qui en plus permettent de prolonger la durée de vie des appareils. Quant à l’isolation des logements, on peut aussi la favoriser sans faire de grands travaux. Du scotch, des boudins en bas de porte font la différence.
« Faire bouillir de l'eau dans une casserole recouverte consommerait jusqu'à quatre fois moins d'énergie, selon l'ADEME. Alors en cuisine aussi, on peut limiter sa consommation en couvrant les plats, en abaissant le feu des plaques de cuisson, en les éteignant quelques minutes plus tôt (les plaques à induction restent chaudes pendant dix minutes après avoir été éteintes) ou même en cuisinant plutôt au four : en effet, les plus récents et en bon état sont moins énergivores que les plaques de cuisson classiques » conclue l’article.
De manière générale, il faut interroger l’utilité de nos habitudes. Les lave-linge et lave-vaisselle par exemple ne doivent pas forcément être lancés à la même température et avec les mêmes durées. « Mais il est également bon de savoir que la fonction "séchage" pour la vaisselle consomme à la fois de l'eau et de l'énergie : on peut donc zapper cette étape en ouvrant simplement la porte de l'appareil et en laissant sécher la machine à l'air libre. Et il en est de même pour le linge : mieux vaut opter pour l'option étendoir, que l'on dispose dans la pièce la plus grande et la plus aérée et ainsi éviter l'étape sèche-linge, très énergivore. Bien sûr, il faudra toujours veiller à faire tourner ses machines lorsqu'elles sont pleines et pourquoi pas privilégier les "heures creuses" dans la mesure du possible : à déterminer auprès de son fournisseur d'électricité » explique l’article.
Ensuite, tous les appareils quels qu’ils soient, chauffage, internet, ordinateurs, téléphone, peuvent être débranchés quand ils ne sont pas utilisés. Des économies d’énergie qui en plus permettent de prolonger la durée de vie des appareils. Quant à l’isolation des logements, on peut aussi la favoriser sans faire de grands travaux. Du scotch, des boudins en bas de porte font la différence.
« Faire bouillir de l'eau dans une casserole recouverte consommerait jusqu'à quatre fois moins d'énergie, selon l'ADEME. Alors en cuisine aussi, on peut limiter sa consommation en couvrant les plats, en abaissant le feu des plaques de cuisson, en les éteignant quelques minutes plus tôt (les plaques à induction restent chaudes pendant dix minutes après avoir été éteintes) ou même en cuisinant plutôt au four : en effet, les plus récents et en bon état sont moins énergivores que les plaques de cuisson classiques » conclue l’article.