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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a légèrement refroidi les ardeurs de Vladimir Poutine. Le président russe a annoncé qu’un vaccin anti Covid-19 était au point. Baptisé le Spoutnik V, le vaccin russe est une surprise pour le grand public qui regardait plutôt vers les États-Unis ou la Chine pour cette solution planétaire au Covid-19. Mais alors que Moscou affirme que le vaccin est presque prêt, l’OMS rappelle qu’il y a des étapes pas encore franchies.
Car avant que des données officielles ne soient publiées et des tests concluants vérifiés, l’annonce restera dans le domaine de la politique et la compétition internationale. « Dans son dernier point, daté du 31 juillet, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) recense 26 "candidats vaccins" évalués dans des essais cliniques sur l'homme. La liste s'est bien étoffée au début de l'été puisqu'ils étaient seulement 11 à la mi-juin. La plupart en sont encore à la "phase 1", qui vise avant tout à évaluer la sécurité du produit, ou à la "phase 2", à laquelle on commence à explorer la question de l'efficacité. Dans la base de données de l'OMS, le vaccin russe, développé par le Centre de recherches en épidémiologie et microbiologie Nikolaï Gamaleïa, avec le ministère russe de la Défense, est toujours listé en phase 1 » raconte LCI.
Or, sur les vingt-six candidats, cinq sont beaucoup plus avancés. « Il s'agit du vaccin développé par la société allemande BioNTech en partenariat avec le laboratoire américain Pfizer. De celui de la biotech américaine Moderna. De ceux des laboratoires chinois Sinopharm et Sinovac. Ainsi que le projet mené par l'Université d'Oxford en coopération avec le groupe pharmaceutique britannique AstraZeneca et la société chinoise CanSino » appuie la chaine d’infos en continu. Des éléments qui ne découragent pas le fonds russe qui finance Sputnik V et qui avait annoncé que les essais cliniques allaient commencer le 12 aout et un objectif de vaccin de toute la population pour janvier prochain.
Car avant que des données officielles ne soient publiées et des tests concluants vérifiés, l’annonce restera dans le domaine de la politique et la compétition internationale. « Dans son dernier point, daté du 31 juillet, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) recense 26 "candidats vaccins" évalués dans des essais cliniques sur l'homme. La liste s'est bien étoffée au début de l'été puisqu'ils étaient seulement 11 à la mi-juin. La plupart en sont encore à la "phase 1", qui vise avant tout à évaluer la sécurité du produit, ou à la "phase 2", à laquelle on commence à explorer la question de l'efficacité. Dans la base de données de l'OMS, le vaccin russe, développé par le Centre de recherches en épidémiologie et microbiologie Nikolaï Gamaleïa, avec le ministère russe de la Défense, est toujours listé en phase 1 » raconte LCI.
Or, sur les vingt-six candidats, cinq sont beaucoup plus avancés. « Il s'agit du vaccin développé par la société allemande BioNTech en partenariat avec le laboratoire américain Pfizer. De celui de la biotech américaine Moderna. De ceux des laboratoires chinois Sinopharm et Sinovac. Ainsi que le projet mené par l'Université d'Oxford en coopération avec le groupe pharmaceutique britannique AstraZeneca et la société chinoise CanSino » appuie la chaine d’infos en continu. Des éléments qui ne découragent pas le fonds russe qui finance Sputnik V et qui avait annoncé que les essais cliniques allaient commencer le 12 aout et un objectif de vaccin de toute la population pour janvier prochain.