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Les frais des obsèques augmentent et les payer est souvent un casse-tête. Cette situation explique en grande partie la raison pour laquelle les contrats d’assurance obsèques rencontrent un franc succès. Mais à en croire 60 Millions de consommateurs, les organismes qui les proposent en profitent largement.
En se penchant sur onze contrats d’assurances obsèques populaires, le magazine dresse un bilan peu encourageant. « Quel que soit le montant des versements, la personne reçoit le capital choisi à la signature du contrat. Résultat : les cotisations dépassent largement la prime reçue. Ainsi, en moyenne un souscripteur de 62 ans verse 5 385 euros sur vingt ans pour en récolter à peine plus de 4 000. « Plus on vit longtemps, plus on a de risques de cotiser à fonds perdu », résume 60 Millions de consommateurs, à l’heure où les frais d’obsèques ont augmenté de plus de 8 % en trois ans. Le magazine pointe également des « frais de gestion très gonflés » et des délais de versement qui peuvent parfois atteindre un mois, après réception de multiples pièces justificatives » résume Le Monde.
Une situation d’autant plus choquante que ces assurances sont contractées par des personnes peu aisées financièrement qui ne veulent pas que leurs obsèques pèsent sur leur famille. Ce ne sont d’ailleurs pas les seules dérives pointées du doigt par le magazine qui publie un hors-série consacré au « business de la mort ». On y apprend ainsi que les crematoriums récupèrent les matériaux qui ne brulent pas pour ensuite les revendre à des entreprises. Dents, prothèses qui ont été identifiés comme des sources de profits… « Les pompes funèbres entrent enfin, elles aussi, dans le collimateur du magazine, cette fois pour l’opacité de certains devis. De nombreuses prestations non obligatoires sont présentées comme « courantes » poussant ainsi les familles à y souscrire » relève par ailleurs Le Monde.
En se penchant sur onze contrats d’assurances obsèques populaires, le magazine dresse un bilan peu encourageant. « Quel que soit le montant des versements, la personne reçoit le capital choisi à la signature du contrat. Résultat : les cotisations dépassent largement la prime reçue. Ainsi, en moyenne un souscripteur de 62 ans verse 5 385 euros sur vingt ans pour en récolter à peine plus de 4 000. « Plus on vit longtemps, plus on a de risques de cotiser à fonds perdu », résume 60 Millions de consommateurs, à l’heure où les frais d’obsèques ont augmenté de plus de 8 % en trois ans. Le magazine pointe également des « frais de gestion très gonflés » et des délais de versement qui peuvent parfois atteindre un mois, après réception de multiples pièces justificatives » résume Le Monde.
Une situation d’autant plus choquante que ces assurances sont contractées par des personnes peu aisées financièrement qui ne veulent pas que leurs obsèques pèsent sur leur famille. Ce ne sont d’ailleurs pas les seules dérives pointées du doigt par le magazine qui publie un hors-série consacré au « business de la mort ». On y apprend ainsi que les crematoriums récupèrent les matériaux qui ne brulent pas pour ensuite les revendre à des entreprises. Dents, prothèses qui ont été identifiés comme des sources de profits… « Les pompes funèbres entrent enfin, elles aussi, dans le collimateur du magazine, cette fois pour l’opacité de certains devis. De nombreuses prestations non obligatoires sont présentées comme « courantes » poussant ainsi les familles à y souscrire » relève par ailleurs Le Monde.