ILD
Une enquête menée par l’Inra et la CLCV - association de défense des consommateurs – montre très clairement qu’en matière d’alimentation les consommateurs veulent de la transparence. Le résultat du sondage effectué sur un échantillon de 2 000 personnes semble démontrer une volonté de mieux savoir ce qu’ils mangent.
Tout d’abord, le sondage indique que 21% des personnes interrogées achètent sans regarder les étiquettes de composition. « C’est particulièrement le cas chez les personnes à faibles revenus ou à faibles niveaux d’études. Les habitudes sont mauvaises devant l’étalage… ce qui n’est pas forcément le cas à la maison. Un tiers des clients de supermarché font attention, en priorité, au prix des produits puis à leur origine » précise le site spécialisé PourquoiDocteur.fr.
« L’information nutritionnelle et les différents labels arrivent en deuxième position, avec un quart des volontaires qui s’y réfèrent. Les personnes en surpoids et obèses ont tendance à délaisser ces indicateurs, note l’Inra. En dernière position figurent l’impact des produits sur l’environnement et la responsabilité sociale des entreprises qui attirent davantage l’attention des plus âgés » continue l’article.
Là où l’enquête devient intéressante c’est qu’une écrasante majorité (97%) des personnes interrogées affirment vouloir qu’au moins une information supplémentaire apparaisse sur les emballages. « De fait, les informations plébiscitées par les participants s’avèrent utiles après l’achat. Ils veulent en priorité savoir si des produits chimiques ou des OGM ont été inclus dans la préparation des produits. Ils souhaitent aussi davantage de renseignements sur leur origine, mais aussi sur le bien-être des animaux ou les conditions de travail dans l’entreprise » explique PourquoiDocteur.
Il est certain que les informations ont un impact sur le choix des consommateurs si elles sont facilement accessibles. D’où l’importance de réfléchir plus sérieusement à des indicateurs faciles à décoder et qui ne nécessitent pas d’analyses comparées de tableaux de valeurs énergétiques et nutritionnelles.
Tout d’abord, le sondage indique que 21% des personnes interrogées achètent sans regarder les étiquettes de composition. « C’est particulièrement le cas chez les personnes à faibles revenus ou à faibles niveaux d’études. Les habitudes sont mauvaises devant l’étalage… ce qui n’est pas forcément le cas à la maison. Un tiers des clients de supermarché font attention, en priorité, au prix des produits puis à leur origine » précise le site spécialisé PourquoiDocteur.fr.
« L’information nutritionnelle et les différents labels arrivent en deuxième position, avec un quart des volontaires qui s’y réfèrent. Les personnes en surpoids et obèses ont tendance à délaisser ces indicateurs, note l’Inra. En dernière position figurent l’impact des produits sur l’environnement et la responsabilité sociale des entreprises qui attirent davantage l’attention des plus âgés » continue l’article.
Là où l’enquête devient intéressante c’est qu’une écrasante majorité (97%) des personnes interrogées affirment vouloir qu’au moins une information supplémentaire apparaisse sur les emballages. « De fait, les informations plébiscitées par les participants s’avèrent utiles après l’achat. Ils veulent en priorité savoir si des produits chimiques ou des OGM ont été inclus dans la préparation des produits. Ils souhaitent aussi davantage de renseignements sur leur origine, mais aussi sur le bien-être des animaux ou les conditions de travail dans l’entreprise » explique PourquoiDocteur.
Il est certain que les informations ont un impact sur le choix des consommateurs si elles sont facilement accessibles. D’où l’importance de réfléchir plus sérieusement à des indicateurs faciles à décoder et qui ne nécessitent pas d’analyses comparées de tableaux de valeurs énergétiques et nutritionnelles.