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La dénonciation par Donald Trump de l’Accord de Paris n’est pas une surprise mais reste un choc. Il l’avait annoncé et il a tenu parole, n’empêche que les pays signataires espéraient encore que le deuxième pollueur au monde s’engage avec eux à des efforts concrets. Les réactions ont été nombreuses avec notamment la prise de parole du nouveau président Emmanuel Macron.
« Le CESE, assemblée de la société civile organisée continuera à œuvrer activement en faveur de la protection de l'environnement, et des enjeux du climat en particulier, à travers ses dix-huit groupes engagés dans un dialogue unanime et permanent » affirme dans un communiqué le Conseil économique social et environnemental (CESE). « Le CESE fait partie des premières institutions de notre pays à avoir inclus la protection de la nature et le développement durable dans ses réflexions, avec le vote d'un avis sur le sujet dès 1971. En 2008, l'environnement est devenu le troisième pilier du CESE aux côtés des questions économiques et sociales démontrant l'importance de ce sujet pour la société civile » fait valoir l’institution.
« Si cette décision déçoit l'ensemble de la société civile française, notre engagement en faveur de l'environnement et du climat n'en est que plus renforcé. Ce retrait n'efface en rien les années d'investissement et les avancées réalisées grâce aux différentes COP. Le CESE continuera à porter des avis pour faire entendre la voix de l'Accord de Paris et soutenir les combats qui concernent la grandeur et la préservation de notre planète » a ajouté le président du CESE. Si la déclaration de l’institution se veut une réponse au nouveau positionnement des Etats-Unis, elle est bien peu de chose pour ce qui est de l’action concrète. Une fois de plus on assiste à des déclarations ambitieuses et volontaristes d’entités qui émettent des avis face à l’immobilisme de ceux qui peuvent agir. Le paradoxe est d’autant plus saisissant qu’ici il s’agit de la première puissance mondiale face à une institution française méconnue et sans pouvoir effectif.
« Le CESE, assemblée de la société civile organisée continuera à œuvrer activement en faveur de la protection de l'environnement, et des enjeux du climat en particulier, à travers ses dix-huit groupes engagés dans un dialogue unanime et permanent » affirme dans un communiqué le Conseil économique social et environnemental (CESE). « Le CESE fait partie des premières institutions de notre pays à avoir inclus la protection de la nature et le développement durable dans ses réflexions, avec le vote d'un avis sur le sujet dès 1971. En 2008, l'environnement est devenu le troisième pilier du CESE aux côtés des questions économiques et sociales démontrant l'importance de ce sujet pour la société civile » fait valoir l’institution.
« Si cette décision déçoit l'ensemble de la société civile française, notre engagement en faveur de l'environnement et du climat n'en est que plus renforcé. Ce retrait n'efface en rien les années d'investissement et les avancées réalisées grâce aux différentes COP. Le CESE continuera à porter des avis pour faire entendre la voix de l'Accord de Paris et soutenir les combats qui concernent la grandeur et la préservation de notre planète » a ajouté le président du CESE. Si la déclaration de l’institution se veut une réponse au nouveau positionnement des Etats-Unis, elle est bien peu de chose pour ce qui est de l’action concrète. Une fois de plus on assiste à des déclarations ambitieuses et volontaristes d’entités qui émettent des avis face à l’immobilisme de ceux qui peuvent agir. Le paradoxe est d’autant plus saisissant qu’ici il s’agit de la première puissance mondiale face à une institution française méconnue et sans pouvoir effectif.