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Le bilan et le diagnostic on le connait. Les Océans sont en danger. Plastique, pollution, surpêche et enjeux du réchauffement climatiques posent des problèmes en cascades sur la biodiversité marine. L’enjeu du sommet mondial de Brest est de trouver des pistes et solutions. « L'événement devrait se diviser en deux parties, réparties sur trois jours. Les 9 et 10 février tout d'abord, une trentaine d'ateliers, forums ou encore rencontres vont être organisés et porteront sur plusieurs thèmes "de portée globale pour aborder l’océan dans toutes ses dimensions et porter, en plus des constats déjà faits, des solutions." Par exemple, dans le programme mis en ligne par l'organisation du sommet, sont prévus ce jour plusieurs ateliers autour de "l'économie du tourisme durable qui protège l'océan" ou encore un rendez-vous consacré à "la gouvernance de l'océan face au changement." Actuellement, la haute mer commence où s'arrêtent les zones économiques exclusives des États, soit à maximum 200 milles nautiques des côtes (370 kilomètres, ndlr); elle n'est sous la juridiction d'aucun État. Elle représente plus de 60% des océans et près de la moitié de la planète, et a longtemps été ignorée, l'attention se concentrant sur les zones côtières et quelques espèces emblématiques » explique BFMTV.
Chefs d’États ou d’organisations internationales, dirigeants d’entreprises tandis que les grandes ONG environnementales seront présentes pour l’événement pour manifester ou remettre des pétitions sur des sujets liés à la surpêche. Profitant de sa position de présidence éphémère de l’UE, la France veut porter le projet d’engagements internationaux. « Une coalition d'ONG demande des avancées sur le traité international pour mieux protéger la haute mer, au-delà des juridictions nationales, qui couvre près de la moitié du globe. "Les discussions sont retombées à un niveau très juridique, il n'y a pas de portage politique", reconnaît Olivier Poivre d'Arvor (ambassadeur français sur le dossier NDLR), qui promet que le One Ocean Summit permettra de remobiliser les États » poursuit la chaine d’infos.
Chefs d’États ou d’organisations internationales, dirigeants d’entreprises tandis que les grandes ONG environnementales seront présentes pour l’événement pour manifester ou remettre des pétitions sur des sujets liés à la surpêche. Profitant de sa position de présidence éphémère de l’UE, la France veut porter le projet d’engagements internationaux. « Une coalition d'ONG demande des avancées sur le traité international pour mieux protéger la haute mer, au-delà des juridictions nationales, qui couvre près de la moitié du globe. "Les discussions sont retombées à un niveau très juridique, il n'y a pas de portage politique", reconnaît Olivier Poivre d'Arvor (ambassadeur français sur le dossier NDLR), qui promet que le One Ocean Summit permettra de remobiliser les États » poursuit la chaine d’infos.