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Les énergies renouvelables ne sont plus un secteur d’avenir mais bien du présent. D’après les chiffres de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena) en 2016 9,8 millions de personnes travaillaient dans ce secteur. « Comparée au niveau de 2015, la progression est certes d’à peine 1 %, un tassement de l’activité ayant été constaté dans le domaine de l’hydroélectricité et des bioénergies. Mais, par rapport à 2012, l’année où l’Irena a entrepris d’effectuer ce décompte, l’augmentation est de près de 40 % » explique Le Monde .
La tendance est à la croissance en général estime donc l’agence qui note que dans toutes les régions du monde les investissements augmentent grâce notamment à des politiques incitatrices. Plus intéressant encore dans l’exercice d’anticipation qui accompagne le rapport publié mercredi 24 mai, l’Irena estime que d’ici 2030 24 millions d’emplois pourraient exister dans ce secteur. Un chiffre qui permettrait de faire mieux que seulement compenser les énergies fossiles.
« Le solaire photovoltaïque est de loin le plus gros pourvoyeur d’emplois : à lui seul, il compte pour près d’un tiers du total (3,1 millions) et, en cinq ans, son poids a plus que doublé (+127 %). Suivent, loin derrière, les biocarburants (1,7 million), les grands barrages hydrauliques (1,5 million) et l’éolien (1,1 million) » raconte le quotidien français.
Des chiffres globaux qui, tout en donnant une idée tendancielle, cachent d’importantes disparités géographiques. La Chine à elle seule représente 60% des emplois dans le secteur. « Au sein de cet ensemble, la Chine confirme sa place de géant (44 % du total mondial), principalement dans le solaire photovoltaïque. En comparaison, l’Inde fait encore figure de nain (4,6 %). Trois autres pays ou blocs de pays ont eux aussi un poids significatif : l’Union européenne (14 % du total), le Brésil (10,5 %) et les Etats-Unis (9,3 %) » précise le journal.
La tendance est à la croissance en général estime donc l’agence qui note que dans toutes les régions du monde les investissements augmentent grâce notamment à des politiques incitatrices. Plus intéressant encore dans l’exercice d’anticipation qui accompagne le rapport publié mercredi 24 mai, l’Irena estime que d’ici 2030 24 millions d’emplois pourraient exister dans ce secteur. Un chiffre qui permettrait de faire mieux que seulement compenser les énergies fossiles.
« Le solaire photovoltaïque est de loin le plus gros pourvoyeur d’emplois : à lui seul, il compte pour près d’un tiers du total (3,1 millions) et, en cinq ans, son poids a plus que doublé (+127 %). Suivent, loin derrière, les biocarburants (1,7 million), les grands barrages hydrauliques (1,5 million) et l’éolien (1,1 million) » raconte le quotidien français.
Des chiffres globaux qui, tout en donnant une idée tendancielle, cachent d’importantes disparités géographiques. La Chine à elle seule représente 60% des emplois dans le secteur. « Au sein de cet ensemble, la Chine confirme sa place de géant (44 % du total mondial), principalement dans le solaire photovoltaïque. En comparaison, l’Inde fait encore figure de nain (4,6 %). Trois autres pays ou blocs de pays ont eux aussi un poids significatif : l’Union européenne (14 % du total), le Brésil (10,5 %) et les Etats-Unis (9,3 %) » précise le journal.