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Saisissant l’occasion de la remise du rapport du Conseil d’orientation des infrastructures (COI), le gouvernement a annoncé sa volonté de mettre en place un vaste plan d’investissements dans la ferroviaire. Le cabinet de la Première ministre Élisabeth Borne a ainsi annoncé à l’Agence France Presse que l’objectif était d’injecter 100 milliards d’euros dans le secteur d’ici 2040.
« Le montant annoncé, qui correspond à l’estimation des besoins lancée par le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou (lui envisageait cette dépense sur quinze ans) ne serait pas, si le scénario du CIO est suivi par le gouvernement, uniquement prélevé sur le budget de l’Etat mais partagé avec les collectivités territoriales et les opérateurs. Le gouvernement veut disposer d’une planification précise des investissements d’infrastructures de transport d’ici juin, après en avoir discuté avec les régions et partenaires concernés » explique l’AFP.
Le rapport a souligné la nécessité d’entretenir les infrastructures plutôt que de lancer de nouveaux projets. Même si certaines nouveautés déjà annoncées devraient être inclues dans l’enveloppe annoncée : « Il prévoit une nette augmentation des moyens dégagés par l’Etat, dès 2023 et jusqu’en 2042. La facture serait de 84,3 milliards d’euros sur la période 2023-2027. L’une des premières concrétisations de ce rééquilibrage de l’engagement de l’Etat dans le train par rapport aux autres mobilités serait, selon la même source, le lancement de « RER métropolitains » dans les grandes agglomérations françaises, qu’Emmanuel Macron a dit souhaiter au mois de novembre lors d’une vidéo publiée sur YouTube. L’annonce avait étonnée les élus et les collectivités territoriales, qui n’avaient pas été associée à des concertations avant cette annonce du président de la République. »
« Le montant annoncé, qui correspond à l’estimation des besoins lancée par le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou (lui envisageait cette dépense sur quinze ans) ne serait pas, si le scénario du CIO est suivi par le gouvernement, uniquement prélevé sur le budget de l’Etat mais partagé avec les collectivités territoriales et les opérateurs. Le gouvernement veut disposer d’une planification précise des investissements d’infrastructures de transport d’ici juin, après en avoir discuté avec les régions et partenaires concernés » explique l’AFP.
Le rapport a souligné la nécessité d’entretenir les infrastructures plutôt que de lancer de nouveaux projets. Même si certaines nouveautés déjà annoncées devraient être inclues dans l’enveloppe annoncée : « Il prévoit une nette augmentation des moyens dégagés par l’Etat, dès 2023 et jusqu’en 2042. La facture serait de 84,3 milliards d’euros sur la période 2023-2027. L’une des premières concrétisations de ce rééquilibrage de l’engagement de l’Etat dans le train par rapport aux autres mobilités serait, selon la même source, le lancement de « RER métropolitains » dans les grandes agglomérations françaises, qu’Emmanuel Macron a dit souhaiter au mois de novembre lors d’une vidéo publiée sur YouTube. L’annonce avait étonnée les élus et les collectivités territoriales, qui n’avaient pas été associée à des concertations avant cette annonce du président de la République. »