Source : Pixabay, image libre de droits.
Un grand nombre de structures mafieuses spécialisées dans le crime environnemental pullulent, en parallèle d’un important business : trafic d’espèces protégées et autres actions illégales.
Un article en ligne du journal Ouest France.ouest-france.fr/environnement-le-crime-ecolo-activite-rentable-pour-les-mafias-3829374 souligne l’urgence avec laquelle ces crimes doivent être éradiqués et punis.
Un article en ligne du journal Ouest France.ouest-france.fr/environnement-le-crime-ecolo-activite-rentable-pour-les-mafias-3829374 souligne l’urgence avec laquelle ces crimes doivent être éradiqués et punis.
Le crime environnemental : 4ème source de revenu du crime organisé
L’article d’Ouest France énumère la longue liste que constitue le crime environnemental dans sa généralité : « trafic d'espèces protégées et de déchets, pêche et déforestation illégales. »…Car « les crimes contre l'environnement rapportent beaucoup pour des risques limités, au point de devenir la quatrième source de revenu du crime organisé. »
Ainsi, avec le crime environnemental, on peut atteindre « de 70 à 213 milliards de dollars par an selon Cees Van Duijn, responsable de la sous-direction criminalité environnementale d'Interpol à l'origine d'une Conférence internationale intitulée « Sécurité et crimes contre l'environnement » organisée lundi et mardi à Nîmes. »
Par conséquent, Cees Van Duijn précise : « la sécurité environnementale fait partie intégrante de la sécurité nationale. Nous avons besoin d'attirer l'attention des policiers à travers le monde sur cette question et de les forme », insistant sur les « convergences entre la criminalité environnementale et d'autres délits - meurtres, évasion fiscale, blanchiment d'argent ».
A la tête de ces crimes environnementaux, on trouve « des groupes mafieux mais aussi à des gouvernements corrompus et à des entreprises. » Pour la sénatrice écologiste (EELV) Leïla Aichi, vice-présidente de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, « le trafic lié à la biodiversité alimente aussi les caisses de groupes terroristes » à travers le globe. Elle ajoute le rôle du « système de la finance internationale qui englobe aussi tout l'argent qui provient des délits qui sont commis contre l'environnement ».
Corine Lepage, ancienne ministre de l'Environnement, ajoute quant à elle la différence qu’il existe entre « exécutants, pour qui c'est un problème de développement », entre « mafias, qui sont des intermédiaires que nous avons laissés venir » et les « clients, qui sont souvent des entreprises. »
Ainsi, avec le crime environnemental, on peut atteindre « de 70 à 213 milliards de dollars par an selon Cees Van Duijn, responsable de la sous-direction criminalité environnementale d'Interpol à l'origine d'une Conférence internationale intitulée « Sécurité et crimes contre l'environnement » organisée lundi et mardi à Nîmes. »
Par conséquent, Cees Van Duijn précise : « la sécurité environnementale fait partie intégrante de la sécurité nationale. Nous avons besoin d'attirer l'attention des policiers à travers le monde sur cette question et de les forme », insistant sur les « convergences entre la criminalité environnementale et d'autres délits - meurtres, évasion fiscale, blanchiment d'argent ».
A la tête de ces crimes environnementaux, on trouve « des groupes mafieux mais aussi à des gouvernements corrompus et à des entreprises. » Pour la sénatrice écologiste (EELV) Leïla Aichi, vice-présidente de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, « le trafic lié à la biodiversité alimente aussi les caisses de groupes terroristes » à travers le globe. Elle ajoute le rôle du « système de la finance internationale qui englobe aussi tout l'argent qui provient des délits qui sont commis contre l'environnement ».
Corine Lepage, ancienne ministre de l'Environnement, ajoute quant à elle la différence qu’il existe entre « exécutants, pour qui c'est un problème de développement », entre « mafias, qui sont des intermédiaires que nous avons laissés venir » et les « clients, qui sont souvent des entreprises. »