Tout chauvinisme à part, cette nouvelle méthode semble bien plus adaptée pour établir un classement mondial des patrons. La performance de l'entreprise, facteur essentiel, n'en dit pas toujours assez sur la personnalité et les qualités d'un dirigeant. « Comme à l'accoutumée, des critères financiers traditionnels ont évalué les patrons mais, cette fois, des facteurs sociaux et environnementaux, à hauteur de 20 % de la note finale, sont venus les pondérer » décrypte le journal économique français.
Du 14ème au 68ème rang
« Pour leur part, les patrons français figurent à des places fort honorables du classement. Talonnant Jacques Aschenbroich, Benoît Potier, le PDG d'Air Liquide, est ainsi passé du 61e au 15e rang, avec une 64e position pour les performances financières et une 123e place selon les critères RSE » explique l'article du journal Les Echos. En termes financiers Bernard Arnault est le premier français, 12ème au général, mais les critères RSE lui ont aussi fait défaut.
Au niveau des critères seulement RSE, le premier français est Jean-Paul Agon avec la 29ème place.
Lire ici l'article du journal Les Echos sur le classement Harvard Business Review