La pollution de l’air tue. D’année en année, l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) le surine pour ceux qui n’auraient pas encore compris. « Selon les dernières données collectées par l’Agence, les concentrations de particules fines (PM2,5, de diamètre inférieur à 2,5 micromètres) ont été responsables d’environ 422 000 décès prématurés (avant l’âge de l’espérance de vie) dans l’ensemble des 41 pays européens en 2015, dont 391 000 dans les 28 Etats membres de l’UE. Soit une légère baisse par rapport à 2014 où le bilan macabre atteignait 399 000 à l’échelle de l’UE. C’est l’Allemagne qui paie le plus lourd tribut (62 300) devant la Pologne (60 600), l’Italie (44 500) et la France (35 800) » relève Le Monde .
Un constat dont les grandes lignes sont incontestables : la pollution de l’air a des conséquences nocives sur la santé. Si l’évaluation et les chiffres peuvent toujours être remis en question, la nécessité d’agir sur les causes de la pollution est consensuelle. Parmi les sources les plus problématiques, les émissions causées par les transports sont centrales notamment parce que par principe elles sont à proximité de zones très peuplées, relève l’AEE.
Les statistiques issues des 2 500 stations de surveillance sur le continent montrent qu’en 2016, la pollution a légèrement baissé sans pour autant passer en dessous des seuils définis par l’UE. « Ainsi, pour les PM2,5, le pourcentage de la population urbaine de l’UE exposée à des concentrations supérieures aux limites européennes (20 µg/m3 en moyenne annuelle) était de 6 % en 2016 contre 7 % l’année précédente. Mais cette proportion grimpe à 74 % si on se réfère aux normes de l’OMS, deux fois plus protectrices » explique le quotidien français. Et en la matière, la France ne fait clairement pas exception.
Un constat dont les grandes lignes sont incontestables : la pollution de l’air a des conséquences nocives sur la santé. Si l’évaluation et les chiffres peuvent toujours être remis en question, la nécessité d’agir sur les causes de la pollution est consensuelle. Parmi les sources les plus problématiques, les émissions causées par les transports sont centrales notamment parce que par principe elles sont à proximité de zones très peuplées, relève l’AEE.
Les statistiques issues des 2 500 stations de surveillance sur le continent montrent qu’en 2016, la pollution a légèrement baissé sans pour autant passer en dessous des seuils définis par l’UE. « Ainsi, pour les PM2,5, le pourcentage de la population urbaine de l’UE exposée à des concentrations supérieures aux limites européennes (20 µg/m3 en moyenne annuelle) était de 6 % en 2016 contre 7 % l’année précédente. Mais cette proportion grimpe à 74 % si on se réfère aux normes de l’OMS, deux fois plus protectrices » explique le quotidien français. Et en la matière, la France ne fait clairement pas exception.