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Leur production n’est pas écologique, leur composition non plus. Les voitures électriques ont pour elles de ne pas émettre de gaz carbonique mais leur bilan écologique est loin d’être satisfaisant. Des données déjà largement connues mais qui doivent nous interroger alors que le grand virage électrique continue à être favoriser par les autorités politiques et par suite les industriels. « Depuis 2020, les véhicules neufs des constructeurs ne doivent pas émettre en moyenne plus de 95 grammes de dioxyde de carbone par kilomètre, sous peine d’amendes en milliards d’euros. À marche forcée, ils prennent donc tous le virage du véhicule électrique. Sur les écrans publicitaires, c’est l’embouteillage : on vante ses performances, son autonomie, mais bizarrement, assez rarement ses bénéfices pour l’environnement. C’est pourtant bien là que l’on attend cette catégorie de véhicule » commente franceinfo.
Nous sommes à l’intersection de plusieurs chemins. Car alors que les véhicules thermiques polluent de moins en moins, la recherche avance très vite aussi concernant les batteries, leur durée de vie, recyclage et dépendance en matières premières rares. Dans un monde où les batteries et voitures seraient produites à partir d’énergies issues du renouvelables, des enquêtes sérieuses et rapportées par le média Reporterre estimaient qu’il fallait qu’une petite voiture électrique roule 30 000 ou 40 000 kilomètres : « Les experts du cabinet de conseil écolo Carbon 4 défendent le véhicule électrique, considérant qu’une électrique de petite taille est moins émettrice de CO2 à partir de 30.000 ou 40.000 kilomètres parcourus — ayant dès lors « compensé » sa fabrication. Ils s’appuient notamment sur l’Institut suédois de recherche environnementale (IVL) dont la dernière étude, en 2019, confirme l’avantage des petites voitures électriques en termes d’émissions de CO2. » Or, précisait le site spécialisé, pour le moment une grande partie des batteries sont fabriquées en Chine et en Asie, grâce à du charbon.
Nous sommes à l’intersection de plusieurs chemins. Car alors que les véhicules thermiques polluent de moins en moins, la recherche avance très vite aussi concernant les batteries, leur durée de vie, recyclage et dépendance en matières premières rares. Dans un monde où les batteries et voitures seraient produites à partir d’énergies issues du renouvelables, des enquêtes sérieuses et rapportées par le média Reporterre estimaient qu’il fallait qu’une petite voiture électrique roule 30 000 ou 40 000 kilomètres : « Les experts du cabinet de conseil écolo Carbon 4 défendent le véhicule électrique, considérant qu’une électrique de petite taille est moins émettrice de CO2 à partir de 30.000 ou 40.000 kilomètres parcourus — ayant dès lors « compensé » sa fabrication. Ils s’appuient notamment sur l’Institut suédois de recherche environnementale (IVL) dont la dernière étude, en 2019, confirme l’avantage des petites voitures électriques en termes d’émissions de CO2. » Or, précisait le site spécialisé, pour le moment une grande partie des batteries sont fabriquées en Chine et en Asie, grâce à du charbon.