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Depuis le temps que l’on en parle comme imminente, on finit par se méfier. L’avènement de la voiture électrique a tous les coins de rues est encore loin d’être une réalité. Selon les chiffres officielles, en Europe à la fin de l’année 2018, les voitures électriques représentent 2% des ventes totales. On est loin d’une révolution. Pourtant, comme le montre un article très complet du quotidien Le Monde certains signaux indiquent que le choc est sur le point d’arriver.
« Mathématiquement, pour parvenir à leur objectif, les constructeurs sont dans une absolue nécessité de vendre environ un tiers de véhicules à zéro émission d’ici à dix ans (on en était fin 2018 à un peu plus de 2 % des ventes en Europe). Et ce d’autant plus qu’avec la baisse des ventes de diesels, la seule solution pour réduire le CO2 est désormais électrique. Les constructeurs ont bien saisi l’urgence. Tous, à l’exception peut-être de Toyota, centré sur sa technologie hybride, annoncent un avenir peuplé de batteries et de bornes de charge. L’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, pionnier de l’électrique avec les Nissan Leaf et Renault Zoé, a programmé douze nouveaux véhicules 100 % électriques entre 2018 et 2022, utilisant des plates-formes communes spécifiques. La seule marque Renault annonce huit modèles pour relayer la vaillante Zoé, en tête des ventes électriques en France » liste le quotidien français.
Autre signal fort, les investissements qui étaient jusqu’ici dérisoires deviennent massifs. Volkswagen qui s’est mis tardivement sur le secteur annonce 44 milliards d’euros pour le développement de l’électrique d’ici 2023. D’après les chiffres compilés par le cabinet AlixParteners rapportés par Le Monde, les constructeurs vont investir 225 milliards d’euros pour ce virage industriel dans les huit prochaines années. A titre de comparaison, durant les huit dernières années – qui ont pourtant vu naitre de nombreuses innovations dans le domaine – seulement 20 milliards d’euros ont été investis. Avec dix fois plus de moyens, les résultats devront être au rendez-vous.
Lire en intégralité l’article du journal Le Monde sur « Le véritable coût de la voiture électrique »
« Mathématiquement, pour parvenir à leur objectif, les constructeurs sont dans une absolue nécessité de vendre environ un tiers de véhicules à zéro émission d’ici à dix ans (on en était fin 2018 à un peu plus de 2 % des ventes en Europe). Et ce d’autant plus qu’avec la baisse des ventes de diesels, la seule solution pour réduire le CO2 est désormais électrique. Les constructeurs ont bien saisi l’urgence. Tous, à l’exception peut-être de Toyota, centré sur sa technologie hybride, annoncent un avenir peuplé de batteries et de bornes de charge. L’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, pionnier de l’électrique avec les Nissan Leaf et Renault Zoé, a programmé douze nouveaux véhicules 100 % électriques entre 2018 et 2022, utilisant des plates-formes communes spécifiques. La seule marque Renault annonce huit modèles pour relayer la vaillante Zoé, en tête des ventes électriques en France » liste le quotidien français.
Autre signal fort, les investissements qui étaient jusqu’ici dérisoires deviennent massifs. Volkswagen qui s’est mis tardivement sur le secteur annonce 44 milliards d’euros pour le développement de l’électrique d’ici 2023. D’après les chiffres compilés par le cabinet AlixParteners rapportés par Le Monde, les constructeurs vont investir 225 milliards d’euros pour ce virage industriel dans les huit prochaines années. A titre de comparaison, durant les huit dernières années – qui ont pourtant vu naitre de nombreuses innovations dans le domaine – seulement 20 milliards d’euros ont été investis. Avec dix fois plus de moyens, les résultats devront être au rendez-vous.
Lire en intégralité l’article du journal Le Monde sur « Le véritable coût de la voiture électrique »