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« Après deux premiers documents publiés les 10 octobre et 14 novembre, un troisième rapport fait office de bilan », explique un article en ligne du journal Challenges, qui ajoute que « Selon cette étude commandé par la Région Ile-de-France, la fermeture des voies sur berge a eu un impact néfaste tant sur le temps de circulation que sur le bruit ou la pollution. »
Sa présidence a été confiée « au professeur Pierre Carli, médecin chef du Samu de Paris et président du conseil national de l'urgence hospitalière. »
Sa présidence a été confiée « au professeur Pierre Carli, médecin chef du Samu de Paris et président du conseil national de l'urgence hospitalière. »
Plus de pollution pour les parisiens
En ce qui concerne la qualité de l'air, la fermeture des voies sur berge a un effet négatif. En effet, selon le rapport : « les experts de l’IAU observent une détérioration de la qualité de l’air sur les 4 derniers mois de 2016. Cette dégradation constitue une inversion de la tendance jusque-là orientée vers l’amélioration. Le constat d’une augmentation des émissions et des concentrations de polluants pendant la même période s’appuie sur des études qui montrent, pour le parc automobile actuel, que le passage de 50 km/h à 20 km/h engendre une croissance des émissions d’oxydes d’azote de l’ordre de 50 %. »
De fait, les experts ont constaté « une hausse de 53 % de la concentration d'oxydes d'azote (NOx) et de 49 % des particules sur les quais hauts rive droite. Le report immédiat de la circulation sur cette voie a en effet entraîné une congestion du trafic à l'origine de cette dégradation ».
Sur le principal itinéraire de report qu'est le boulevard St-Germain, la situation s'est également dégradée, dans une moindre mesure : « + 18 % pour les NOx et + 15 % pour les particules. Pire, les stations Airparif ont constaté une augmentation de la concentration en NOx au-delà de cette zone précise, puisque le phénomène s'étend également à la petite couronne. »
De fait, les experts ont constaté « une hausse de 53 % de la concentration d'oxydes d'azote (NOx) et de 49 % des particules sur les quais hauts rive droite. Le report immédiat de la circulation sur cette voie a en effet entraîné une congestion du trafic à l'origine de cette dégradation ».
Sur le principal itinéraire de report qu'est le boulevard St-Germain, la situation s'est également dégradée, dans une moindre mesure : « + 18 % pour les NOx et + 15 % pour les particules. Pire, les stations Airparif ont constaté une augmentation de la concentration en NOx au-delà de cette zone précise, puisque le phénomène s'étend également à la petite couronne. »