VVF Villages, de la RSE sur fond de tourisme social et solidaire

15/02/2017


VVF Villages continue son engagement en rendant le plus accessible possible les départs en vacances. En parallèle l’association développe un fonctionnement interne qui prend en compte la RSE pour donner encore plus de valeur à son engagement : développement durable, missions d’utilités sociales, accès aux personnes handicapées.



Toujours plus loin dans son impact social. Ce pourrait devenir le slogan de VVF Villages. L’association créée il y a près de soixante ans a pourtant fait beaucoup de bien dans le domaine de l’accès aux vacances. « Depuis quatre décennies, VVF Villages souhaite rendre les vacances accessibles au plus grand nombre tout en assurant une responsabilité sociétale ! Et ce depuis Clermont-Ferrand. L'association est nommée aux Trophées des entreprises du Puy-de-Dôme dans la catégorie "Responsabilité sociale des entreprises" » commence un article du quotidien régional La Montagne.

Le journal s’est intéressé à la responsable de la RSE pour VVF Villages, qui emploie à l’année 160 personnes à Clermont-Ferrand. « Si la mission de l’association reste de rendre accessible au plus grand nombre les vacances tout en contribuant à l’aménagement et au développement des territoires, celle de Delphine Joannet diffère quelque peu. Elle correspond pourtant à ce qui constitue l’ADN de VVF Villages, bien ancrée dans l’économie sociale et solidaire. D’où ce souhait de s’engager, « de manière volontaire », dans cette démarche et de concourir aux Trophées des entreprises » explique l’article.

Les domaines d’engagement sont multiples avec d’abord l’action historique sur la grande part de la population (40%) qui ne peuvent pas partir en vacances. Par ailleurs, des réflexions et actions sur l’impact environnemental des villages, les accès pour les personnes handicapées sont avancées par Delphine Joannet. « Autre point abordé : celui des salariés acteurs. « Cela passe, par exemple, par l’évolution des modes de management », explique-t-elle. Mais aussi en faisant en sorte qu’ils deviennent de vrais acteurs du territoire dans lequel ils travaillent : soit le quartier de Champratel. Des liens avec la maison de quartier ont pu être tissés » lit-on plus loin.

Lire en intégralité l’article du quotidien La Montagne