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Pas de rentrée pour ces centaines de professeurs qui manquent à l’appel. « Une semaine après la rentrée, il manque un professeur dans près de la moitié des établissements du secondaire en France, selon une enquête du Snes-FSU, le principal syndicat d’enseignants dans les collèges et lycées, révélée lundi 11 septembre par France info. Plus précisément, cette enquête réalisée la semaine dernière, menée dans plus de 500 établissements représentatifs du système scolaire français, indique qu'il manque en moyenne au moins un enseignant dans 48% des collèges et lycées de l'Hexagone, hors outre-mer » rapporte la chaine publique d’info.
L’enquête n’a rien d’anodin alors que Gabriel Attal, ministre de l’Éducation nationale avait prolongé la promesse de Emmanuel Macron assurant qu’il y aurait « un professeur devant chaque élève ».
Sans surprise, l’étude confirme des différences très importantes selon les régions. « Les informations ont été envoyées par les délégués syndicaux locaux la semaine dernière, et ce sont principalement les mêmes tendances que l’an dernier. Toutes les régions ne sont pas touchées de la même manière. Sans surprise, les trous dans les emplois du temps sont plus nombreux dans l’académie de Créteil notamment, qui regroupe trois départements dans l’est de l'Île-de-France, malgré le rectorat qui y embauche de nombreux contractuels. Le syndicat relève aussi des manques importants dans l’académie d’Orléans-Tours, dans celle de Normandie ou encore dans certaines villes comme Nantes », lit-on plus loin.
Concernant les matières aussi, le syndicat observe des différences importantes selon les disciplines enseignées : « Les matières les plus touchées par ces pénuries, ce sont les mathématiques, un problème récurrent dans cette discipline, mais il manque aussi pas mal de professeurs de sciences de l’ingénieur (une spécialité portant sur les sciences et la technologie dans les domaines de la mécanique ou encore de l'informatique), ou d’anglais. »
Lire en intégralité sur son site l’article de France Info
L’enquête n’a rien d’anodin alors que Gabriel Attal, ministre de l’Éducation nationale avait prolongé la promesse de Emmanuel Macron assurant qu’il y aurait « un professeur devant chaque élève ».
Sans surprise, l’étude confirme des différences très importantes selon les régions. « Les informations ont été envoyées par les délégués syndicaux locaux la semaine dernière, et ce sont principalement les mêmes tendances que l’an dernier. Toutes les régions ne sont pas touchées de la même manière. Sans surprise, les trous dans les emplois du temps sont plus nombreux dans l’académie de Créteil notamment, qui regroupe trois départements dans l’est de l'Île-de-France, malgré le rectorat qui y embauche de nombreux contractuels. Le syndicat relève aussi des manques importants dans l’académie d’Orléans-Tours, dans celle de Normandie ou encore dans certaines villes comme Nantes », lit-on plus loin.
Concernant les matières aussi, le syndicat observe des différences importantes selon les disciplines enseignées : « Les matières les plus touchées par ces pénuries, ce sont les mathématiques, un problème récurrent dans cette discipline, mais il manque aussi pas mal de professeurs de sciences de l’ingénieur (une spécialité portant sur les sciences et la technologie dans les domaines de la mécanique ou encore de l'informatique), ou d’anglais. »
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