Source : Pixabay, image libre de droits.
Un communiqué de l’IFAW explique que ce film documentaire, intitulé « Huntwatch », du nom des opérations d'observation de la chasse menées jusqu'en 2012 par les équipes d'IFAW, « a demandé six années de travail aux équipes vidéastes et au réalisateur d'IFAW, Brandt Backlund, lesquels ont dû visionner plus de 40 ans d'archives vidéo. »
Le film commence « en 1969, date de création d'IFAW et s'achevant en 2009 avec la fermeture du marché européen à l'importation des produits dérivés de phoques. » Il raconte l’histoire de Brian Davies, fondateur d'IFAW, et de sa croisade devenue un mouvement international pour mettre fin à ce qui pour lui est une chasse cruelle et inutile : la chasse commerciale des phoques au Canada.
Le film commence « en 1969, date de création d'IFAW et s'achevant en 2009 avec la fermeture du marché européen à l'importation des produits dérivés de phoques. » Il raconte l’histoire de Brian Davies, fondateur d'IFAW, et de sa croisade devenue un mouvement international pour mettre fin à ce qui pour lui est une chasse cruelle et inutile : la chasse commerciale des phoques au Canada.
Une histoire de convictions
Ce film documentaire est également l'histoire des convictions de Brian Davies et des équipes d'IFAW « qui n'ont jamais cessé de se battre au quotidien pour sauver et protéger les animaux qui souffrent dans le monde entier. »
C’est ainsi que le phoque du Groenland est devenu l'emblème de ce combat et au Palais du Luxembourg. Car aujourd’hui, « alors que 35 pays ont d'ores et déjà fermé leur marché respectif à l'importation des produits dérivés de phoque et que de moins en moins de chasseurs y participent (près de 5 600 en 2006 contre 400 en 2014), le Canada s'apprête, cette année encore, à subventionner la chasse de centaines de milliers de phoques âgés de trois semaines à trois mois. »
Par conséquent, pour l’IAW, cette chasse, « dont 90% de l'animal sont rejetés en mer ou abandonnés sur la banquise, n'a pas sa place dans la société moderne. »
C’est ainsi que le phoque du Groenland est devenu l'emblème de ce combat et au Palais du Luxembourg. Car aujourd’hui, « alors que 35 pays ont d'ores et déjà fermé leur marché respectif à l'importation des produits dérivés de phoque et que de moins en moins de chasseurs y participent (près de 5 600 en 2006 contre 400 en 2014), le Canada s'apprête, cette année encore, à subventionner la chasse de centaines de milliers de phoques âgés de trois semaines à trois mois. »
Par conséquent, pour l’IAW, cette chasse, « dont 90% de l'animal sont rejetés en mer ou abandonnés sur la banquise, n'a pas sa place dans la société moderne. »