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Une fois de plus, la RSE n’est pas une affaire de communication ni un vernis marketing. Ou du moins si c’est le cas c’est du gâchis de temps, d’énergie et d’argent. Ceux qui au contraire ont saisi le potentiel du concept pour une approche globale ont su l’intégrer dans l’ADN de leur société pour des résultats très concluants. C’est ce que montre avec pertinence un article du quotidien Les Echos qui s’est penché sur deux cas particuliers : Camif-Matelsm et Armor-Lux.
Les deux entreprises ont en commun d’avoir inscrit la RSE au cœur même de leur « business plan » pour des résultats très intéressants. Camif-Matelsm doit son succès à une stratégie qui se concentre sur la qualité, l’origine locale ou française et le développement durable. « A la clef, une première innovation : la « conso-localisation » pour identifier des producteurs locaux. La démarche permet de rendre les clients « acteurs d’une consommation responsable » et de diviser l’impact carbone de l’offre par quatre. Un tour du made in France créera également du lien entre les équipes, les fournisseurs et les client. Et permettra d’imaginer, d’une façon collective, les produits de demain. Un meuble connecté, né de la démarche, est l’un des best-seller des ventes. En 2015, l’entreprise et l’investisseur ont décroché le label B-Corp » résume le quotidien économique.
Pour ce qui est d’Armor-Lux (RSE Magazine en a déjà parlé ici ), c’est une approche des affaires intelligente qui a été au cœur du succès. L’idée, simple mais pas assez répandue, que le prix n’est pas le seul critère, d’autant qu’un fournisseur étranger sera toujours capable de proposer moins cher. « Auditée dans les mêmes conditions que ses fournisseurs, Armor-Lux a considéré que sa démarche RSE constituait un investissement » résument Les Echos.
Les deux entreprises ont en commun d’avoir inscrit la RSE au cœur même de leur « business plan » pour des résultats très intéressants. Camif-Matelsm doit son succès à une stratégie qui se concentre sur la qualité, l’origine locale ou française et le développement durable. « A la clef, une première innovation : la « conso-localisation » pour identifier des producteurs locaux. La démarche permet de rendre les clients « acteurs d’une consommation responsable » et de diviser l’impact carbone de l’offre par quatre. Un tour du made in France créera également du lien entre les équipes, les fournisseurs et les client. Et permettra d’imaginer, d’une façon collective, les produits de demain. Un meuble connecté, né de la démarche, est l’un des best-seller des ventes. En 2015, l’entreprise et l’investisseur ont décroché le label B-Corp » résume le quotidien économique.
Pour ce qui est d’Armor-Lux (RSE Magazine en a déjà parlé ici ), c’est une approche des affaires intelligente qui a été au cœur du succès. L’idée, simple mais pas assez répandue, que le prix n’est pas le seul critère, d’autant qu’un fournisseur étranger sera toujours capable de proposer moins cher. « Auditée dans les mêmes conditions que ses fournisseurs, Armor-Lux a considéré que sa démarche RSE constituait un investissement » résument Les Echos.