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Les études se suivent et se ressemblent. Les cabinets de conseils continuent à noter que la RSE est devenue une réalité incontournable de l’entreprise. D’autant plus lorsqu’il s’agit de celles qui sont cotées auxquelles s’intéresse le baromètre Mazars. S’il n’y a pas de grande surprise dans les grandes lignes de ce 8ème baromètre du cabinet, le sérieux de la méthode justifie que l’on se penche sur ses conclusions.
« Pour ce dernier exercice de reporting sous l’égide de la loi Grenelle II, les modalités de publications restent relativement stables. En effet, 69% des entreprises du panel conservent une organisation du chapitre RSE par volets (social, environnement, sociétal), suivant souvent les thématiques de la loi Grenelle II, tandis que 31% (contre 30% en 2016) l’organisent par enjeux matériels. En outre, la fiabilisation des rapports RSE est toujours croissante : en 2017, 90% d'entre eux ne fait l'objet ni d'observation ni de réserve, contre 79% il y a 2 ans. A noter également que 77% des organisations mentionnent l'évaluation de leur chapitre RSE par une agence de notation extra-financière » commence par expliquer le communiqué de présentation.
L’expérience des entreprises dans le reporting extra-financier a donc pour conséquence immédiate une meilleure maitrise de l’exercice et donc une fiabilité plus importante. En revanche, les manquements sont d’autant plus surprenants. « Pour le reporting sur l'exercice 2017, 61% des entreprises du panel excluent au moins une information, 3 thématiques sont plus particulièrement concernées : le gaspillage alimentaire (37%), les nuisances sonores ou tout autre forme de pollution spécifique à une activité (32%), et l'utilisation des sols (29%). Avec l'avènement de la DPEF, incitant les entreprises à se concentrer sur les thématiques significatives pour leur organisation, la notion d'exclusions d'informations devraient disparaître des rapports » note très justement Mazars.
« Pour ce dernier exercice de reporting sous l’égide de la loi Grenelle II, les modalités de publications restent relativement stables. En effet, 69% des entreprises du panel conservent une organisation du chapitre RSE par volets (social, environnement, sociétal), suivant souvent les thématiques de la loi Grenelle II, tandis que 31% (contre 30% en 2016) l’organisent par enjeux matériels. En outre, la fiabilisation des rapports RSE est toujours croissante : en 2017, 90% d'entre eux ne fait l'objet ni d'observation ni de réserve, contre 79% il y a 2 ans. A noter également que 77% des organisations mentionnent l'évaluation de leur chapitre RSE par une agence de notation extra-financière » commence par expliquer le communiqué de présentation.
L’expérience des entreprises dans le reporting extra-financier a donc pour conséquence immédiate une meilleure maitrise de l’exercice et donc une fiabilité plus importante. En revanche, les manquements sont d’autant plus surprenants. « Pour le reporting sur l'exercice 2017, 61% des entreprises du panel excluent au moins une information, 3 thématiques sont plus particulièrement concernées : le gaspillage alimentaire (37%), les nuisances sonores ou tout autre forme de pollution spécifique à une activité (32%), et l'utilisation des sols (29%). Avec l'avènement de la DPEF, incitant les entreprises à se concentrer sur les thématiques significatives pour leur organisation, la notion d'exclusions d'informations devraient disparaître des rapports » note très justement Mazars.