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Consommer local c’est défendre l’économie locale et les emplois, mais aussi limiter l’impact environnemental de nos habitudes. Il y avait donc déjà des arguments clés en faveur des circuits courts. Mais à la défense des producteurs en difficulté et de l’environnement, il y a désormais l’argument sanitaire qui pèse lourd en cette période de confinement.
Car en réaction de la fermeture des marchés alors que les grandes surfaces restent ouvertes, la Confédération paysanne a accompagné ses critiques amères d’un appel à utiliser des circruits courts. « Avant même l’annonce du gouvernement, de nombreuses initiatives ont été prises pour garantir l’approvisionnement local. Une carte participative a été mise en place avec, en rouge, les magasins qui distribuent des produits locaux et recherchent des producteurs, en vert, les producteurs qui ont des surplus ou cherchent des débouchés. « La carte se complète d’heure en heure, elle recense tous les besoins, et l’inscription est gratuite », précise Laura Giacherio, à l’initiative de cette carte de « solidarité aux productrices et producteurs locaux » (pour figurer sur la carte, écrire à contact[@] lacharrette.org) » rapporte le site Basta Mag.
Les initiatives personnelles se sont développées très vite avec des maraichers ou vendeurs qui ont proposé de livrer à leurs clients habituels. Favorisant ainsi un travail lissé et non ciblé uniquement sur le week-end. Un changement d’habitudes qui, s’il ne remplacera pas le traditionnel marché, pourrait on l’espère faire évoluer les habitudes concernant les achats notamment de fruits et légumes.
Car si ce n’est pas une nouveauté, ce pourrait être une accélération pour les projets qui existent déjà. Notamment l’initiative La Charrette. Une entreprise solidaire et engagée socialement créée par deux sœurs. Elles mutualisent ainsi les livraisons de 800 producteurs partenaires. « Elles constituent aussi un réseau de petits transporteurs indépendants, « des entreprises familiales avec un ou deux véhicules » qui collectent les denrées chez plusieurs producteurs pour les livrer dans des cantines. Parti de Rhône-Alpes, le projet de La Charrette essaime en Occitanie, Bretagne, Hauts-de-France... » conclue Basta.
Car en réaction de la fermeture des marchés alors que les grandes surfaces restent ouvertes, la Confédération paysanne a accompagné ses critiques amères d’un appel à utiliser des circruits courts. « Avant même l’annonce du gouvernement, de nombreuses initiatives ont été prises pour garantir l’approvisionnement local. Une carte participative a été mise en place avec, en rouge, les magasins qui distribuent des produits locaux et recherchent des producteurs, en vert, les producteurs qui ont des surplus ou cherchent des débouchés. « La carte se complète d’heure en heure, elle recense tous les besoins, et l’inscription est gratuite », précise Laura Giacherio, à l’initiative de cette carte de « solidarité aux productrices et producteurs locaux » (pour figurer sur la carte, écrire à contact[@] lacharrette.org) » rapporte le site Basta Mag.
Les initiatives personnelles se sont développées très vite avec des maraichers ou vendeurs qui ont proposé de livrer à leurs clients habituels. Favorisant ainsi un travail lissé et non ciblé uniquement sur le week-end. Un changement d’habitudes qui, s’il ne remplacera pas le traditionnel marché, pourrait on l’espère faire évoluer les habitudes concernant les achats notamment de fruits et légumes.
Car si ce n’est pas une nouveauté, ce pourrait être une accélération pour les projets qui existent déjà. Notamment l’initiative La Charrette. Une entreprise solidaire et engagée socialement créée par deux sœurs. Elles mutualisent ainsi les livraisons de 800 producteurs partenaires. « Elles constituent aussi un réseau de petits transporteurs indépendants, « des entreprises familiales avec un ou deux véhicules » qui collectent les denrées chez plusieurs producteurs pour les livrer dans des cantines. Parti de Rhône-Alpes, le projet de La Charrette essaime en Occitanie, Bretagne, Hauts-de-France... » conclue Basta.