Creative Commons - Pixabay
Il n’y aura pas de site d’exploitation d’hydrocarbure au large de la Guyane. Ce n’est pour autant pas une victoire des ONG qui mettaient la pression sur Total. Le groupe pétrolier avait obtenu l’autorisation des autorités pour explorer la zone. « Nous n'avons pas trouvé d'hydrocarbures en effectuant ce forage et nous avons arrêté les opérations en début de semaine. Nous sommes très déçus par ce résultat » a expliqué le groupe pétrolier à l’Agence France presse. « En octobre 2018, le groupe pétrolier avait reçu le feu vert de la préfecture pour commencer à forer en mer à 150 kilomètres des côtes guyanaises. L'arrêté préfectoral permettait à Total de réaliser cinq forages offshore avant le mois de juin 2019. Mais le premier forage n'a pas été "concluant" et ne permet pas au groupe de procéder à d'autres explorations. Les résultats obtenus "ne permettent pas de confirmer le potentiel pétrolier de la zone", indique Total. Poursuivre les recherches (après l'autorisation jusqu'au 1er juin) aurait imposé à Total de demander une extension de ce permis ou un autre permis d'exploration » raconte un article publié par le site Actu-Environnement .
Le groupe est de toute façon dans l’obligation d’arrêter net son projet, explique le site spécialisé. Depuis décembre 2017 et la loi Hulot, pour avoir le droit d’exploiter une zone il faut justifier une découverte suffisante. Le projet capote donc alors que toutes les procédures judiciaires des associations de défense de l’environnement s’étaient soldées par des échecs. Si ces dernières se félicitent de ce dénouement, du côté de Total on déchante. Depuis le début de la formulation de ce projet jusqu’à aujourd’hui, environ 100 millions d’euros ont été dépensés. Une somme qui aurait certainement été mieux utilisée dans des projets d’énergie renouvelable ou de transition énergétique.
Le groupe est de toute façon dans l’obligation d’arrêter net son projet, explique le site spécialisé. Depuis décembre 2017 et la loi Hulot, pour avoir le droit d’exploiter une zone il faut justifier une découverte suffisante. Le projet capote donc alors que toutes les procédures judiciaires des associations de défense de l’environnement s’étaient soldées par des échecs. Si ces dernières se félicitent de ce dénouement, du côté de Total on déchante. Depuis le début de la formulation de ce projet jusqu’à aujourd’hui, environ 100 millions d’euros ont été dépensés. Une somme qui aurait certainement été mieux utilisée dans des projets d’énergie renouvelable ou de transition énergétique.